Après un après midi aux sources

Zakuro s'inquiéter vraiment. Elle savait que sa souffrance ne faisait que commencer et pourtant elle commencer déjà à crier de douleur. Si elle continuait comme ça elle n'allait vraiment pas tenir très longtemps. Mais elle était encore bien plus effrayée de ce qu'il se passerait si elle s'avanoussait. Remarque elle n'aurait pas à subir en direct ce qu'il comptait lui faire.

Quand il arrêta enfin de la fouetter, la néko respirait fortement complètement épuisée. Elle ne pensait pas ses blessures assez sérieuse pour saigner mais en tout cas elle pouvait facilement s'imaginer dans quel état se trouvait son dos ainsi que ses jambes. Elle se crispa un moment quand elle sentit quelque chose de froid sur son dos puis finit par se détendre se sentant beaucoup mieux grâce à ça. Elle ne savait pas vraiment ce que c'éait mais en tout cas elle reconnaissait que ça faisait un bien fou. Cependant elle ne comptait pas le remercier. S'il ne l'avait pas frappé elle n'en aurait pas eu besoin alors il pouvait grandement aller se faire voir.

Commençant à récupérer un rythme cardiaque normal, elle se crispa de nouveau d'un seul coup et lâcha un petit cri quand elle sentit les doigts de Masaomi s'introduir en elle en lui disant que c'était sa récompense. En une fraction de seconde elle se remémora ce qu'il lui avait dit un peu plus tôt en parlant de la faveur qu'il comptait faire à Kazuki et comprit rapidement ce qu'il entendait par là. Sentant les mains de l'humain commençaient à la tripoter, elle se dépatit plus fortement refusant de se laisser faire.

"Ne me touches pas !!!!"

Cria-t-elle à la fois affolée et énervée tout en continuant de se débattre.

Alors que ses nerfs lâchaient un à un complètement, Zakuro ne se mettait pas en tête que son cauchemar n'était pas fini. Même si son ravisseur n'était pas allé plus loin de ce côté-là, rien ne l'empêchait de continuer sur une autre voie. Mais son cerveau n'arrivait plus à réagir et elle continuait de pleurer sa tête posée sur ses mains sur la table.

Quelques secondes plus tard, elle entendit les hommes de mains de Masaomi s'approchaient d'elle pour lui enfoncer quelque chose dans la bouche l'empêchant de pouvoir la refermer. Ils s'occupèrent ensuite de bloquer ses bras et finir - une fois qu'elle fut détachée de la table - par la trainer sur le sol, en la tirant par la laisse qui étaient attaché autour du collier grelot qu'elle détestait. Mais ce bruit était le dernier de ses soucis. Trainant sur le sol complètement aveugle, elle eut le droit de se prendre les différents murs ainsi que les marches d'escalier pour finir en beauté. Si les coups de fouet qu'elle avait reçu un peu plus tôt ne lui avaient pas laissé de marques, maintenant elle pouvait être sûre de voir et sentir apparaitre des hématomes à certains endroits.

Après un trajet plus ou moins difficile, elle finit par sentir le sol se dérober sous elle pour finalement se retrouver sur quelque chose de mou et agréable.

*Un lit...*

Ses nerfs étaient tellement sous tensions qu'elle n'arrivait pas à comprendre pourquoi est-ce qu'elle se trouvait là. Pensant au départ que son traitement allait reprendre là où Masaomi l'avait laissé, elle sentit celui-ci à la place lui placer deux pinces au niveau de sa poitrine ainsi que deux objets. Un dans son intimité, l'autre dans son anus. La dernière fois qu'on lui avait mis un objet du même style à cet endroit c'était lors de l'anniversaire de Kazuki et elle se souvenait encore de la douleur. Se crispant, elle comprit rapidement que le bonne nuit qu'on lui avait adressé été plus qu'ironique. Elle en eut confirmation après quelques heures d’attente, juste avant qu'elle ne s'endorme avec une violente douleur la faisant hurler. Le cauchemar reprenait...

Ce fut la même chose pendant des jours et des jours. Zakuro n'avait pas dormi une seule nuit convenablement entre les décharges électriques qu'elle recevait ou les deux objets placés aux endroits spécifiques qui se mettaient à fonctionner. Malheureusement pour elle, ces traitements n'étaient pas valable que la nuit et pendant la journée Masaomi lui faisait vivre différentes tortures aussi douloureuses les unes que les autres dont une qui se répétait à chaque fois: les attouchements sexuels. Rien que pour ça, une jeune fille normal une fois sortie de ce drame aurait porté plainte et amener son ravisseur face à un procès mais que pouvait-elle faire ? Elle n'était qu'une néko qui n'avait aucun droit.

Elle fut réveillée en sursaut ce matin là comme tous les autres. Sentant les hommes de mains de l'humain s'occupaient de lui enlever les différents objets dont on l'avait chargé jusqu'à l'arrivé de leur "maître". Elle n'essayait plus d'enlever son bandeau car après plusieurs tentatives elle avait fini par comprendre qu'il avait fait mettre un cadenas pour ne pas qu'elle puisse l'enlever. Le seul bon point dans toute cette situation était que grâce à ce sens en moins les autres étaient devenus très performants principalement l'ouïe et le toucher. En revanche, elle n'imaginait même pas dans quel état devait se trouver son corps avec tout ce qu'on lui avait fait subir jusque là. Elle se souvenait de sa peau blanche sans aucun défaut mais maintenant elle se l'imaginait rouge avec des cicatrices plus ou moins légères à certains endroits. Elle pensait principalement à son dos.

"Laisses moi partir."

Dit-elle une nouvelle fois et comme tous les matins à Masaomi. C'était devenu comme une routine, il lui disait qu'elle devait manger elle lui répliquait qu'elle voulait s'en aller. Mais comme d'habitude elle se doutait assez largement de la réponse.