.x Une journée étrange (Pv. Maitre/Maitresse)x.

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Le journal parlé avait du annoncer de la pluie ... En effet, le temps n’était pas agréable. Le vent soufflait dehors, on entendait les gouttes de pluies tomber sur la vitre de l’animalerie du coin. Non, ce n’était pas un beau jour pour aller se promener. Pourtant des gens devaient le faire. Certains …

Dans l’animalerie du coin, la plus connue du quartier, séjournaient une trentaine de nekos. Tous étaient plus joueurs, plus gentils, plus obéissantes que les autres. Chacun avait son propre caractère, certain étaient doux comme un agneau, d’autres désobéissants. Le vendeur savait toujours quoi faire en cas de rébellion. Sur son mur, on pouvait voir certains objets, dont une batte, un fouet, même un fusil … Bref, il ne fallait pas se rebeller, car on pouvait regretter. Kyoko, elle, ne s’en fichait pas mal. Elle n’avait jamais posé aucun problème, donc pas de soucis.

La neko aux yeux rouges se rappelait chaque jour son arrivée, sans savoir pourquoi. Peut-être que son arrivée était selon elle génial, fantastique, bellissime, … Il y avait donc quelques jours, on pourrait dire une semaine, qu’elle fut emmenée ici. Chez elle, au début, des policiers l’avaient retrouvée, en train de lécher du sang. Par dégoût, ils eurent bizarrement une facilité de l’attraper. Un policier voulut alors lui prendre son katana, mais en un coup il fut mort. Ses collègues ne lui reprirent pas l’arme après. C’était impossible, puisqu’elle le tenait fermement entre ses deux mains. Le commissaire décida que son sort serait l’animalerie. On l’emmena alors à celle du coin. Kyoko ne parlait pas, ne regardait personne. La seule chose qu’elle faisait, c’était de regarder et de bien tenir son katana. Rentrée dans le magasin, entourée de multiples policiers, la neko regardait l’animalier d’un regard d’une froideur extrême, le même regard meurtrier que quand elle avait tué sa propre famille. L’homme lui demanda de donner son katana, et par la même occasion de donner son nom et âge. Kyoko baissa les yeux au sol et répondit d’une voix faible

« Kyoko … »

Le vendeur soupira et haussa ses épaules en lui donnant une cage à son nom. Il fallait que ça arrive à ce moment là. Cette crise … Kyoko fut à peine dans sa cage, qu’elle se laissa tomber par terre. Elle était tombée dans les pommes pour un bon moment. Le vendeur croyait qu’elle était fatiguée et lui ficha la paix.

La pluie tombait toujours. Kyoko s’ennuyant un peu, s’avança vers les barreaux et souffla :

« Dite … »

Le vendeur, occupé, se retourna vers elle.

« Quoi … T’a faim ? »

« Non. Vous n’auriez pas quelque chose pour nettoyer une arme.. ? »

« Un mouchoir. Maintenant fiche moi la paix »

Le vendeur lui lança un mouchoir. Malheureusement, celui-ci tomba à un mettre de sa cage. Trop loin pour l’avoir, Kyoko soupira et s’asseya.

*Tant pis …*

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A peine arriver dans cette ville, où on lui avait prédit pas d’ennui et toujours de « l’action » peut-être pas vraiment de l’action… Bref, Maki ne trouvait pas vraiment quelque chose de si différent des autres villes, ça ne pouvait être qu’une apparence aussi. Maki décidât alors de vivre ici quelques temps, et si ça va mieux, elle y resterait.
Les ruelles étaient noire de monde, presque aucun moyens de s’y retrouver ou de marcher… C’était quelque chose que Maki ne supporter vraiment pas, mais elle voulait vraiment faire les boutiques…. L’un de ses plus grands plaisirs, si ce n’est Le avec un grand L. La rue était coloré, des affiches pendus au-dessus, ou autre part…

Pour l’instant la voici, en train de faire les boutiques, elle aimait bien ça… Elle ne s’était que rarement arrêtée pendant son voyage pour acheter de nouveaux habits… Ou une flute. Des magasins de toutes sortes, mariage, vêtements, décors, souvenirs, et même ! Un magasin, qu’elle ne connaissait pas la marchandise… ça intriguât fortement Maki et elle décidât d’y aller faire un tour.

En rentrant, elle remarquât la différence, le dehors était vraiment tout coloré, et noire de population, alors qu’ici il n’y avait pratiquement personne, mais était vraiment sobres… Il y avait une certaines odeurs, assez bizarre, mais Maki ne sut dire de quoi il s’agissait… Elle alla voir le vendeur, ou tout du moins ce qui en avait l’air…

« Excusez-moi, je me demandais juste ce que vous vendez ? »

« Des nekos ? Vous n’êtes pas d’ici ? Ici les néko, vous savez les humains-chats, sont à vendre pour en faire devenir esclaves, je ne vois pas comment les définir autrement, pour aider l’acheteur. »

« Que ?! En esclavages ?... C’est bien que de chez vous ça…. »

Elle se retournât et décidât de partir sur le champ mais après avoir fait quelques pas elle remarqua une néko dans une autre pièce juste à côté, assez bizarre, des cheveux noirs, et des yeux rouges. Maki était vraiment intriguée, par cette créature, tellement d’ailleurs que :

« Bonjour, comment t’appelle-tu ? Si ce n’est pas indiscret. Moi c’est Maki Yû. Et même si je ne voulais rien acheter ici, je le ferais si tu aimerais sortir de cette cage, Est-ce que tu veux ? »

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C'était un étonnement pour Kyoko que peu de gens venaient ici. Elle savait que des magasins se remplissaient souvent de monde. Mais alors qu'une animalerie pouvait être vide, c'était étrange.

La neko était toujours à l'avant de la cage, regardant un peu ce qui se passait en dehors de sa petite cage. Elle pensait sans arrêt à son sort. Elle se demandait si on allait vouloir d’elle. Elle qui n’était pas du genre à écouter les conversations, le fit pour une fois. La personne en discussion avec le vendeur semblait e pas connaître les nekos, ni les esclaves donc. Elle regardait un instant la jeune femme qui parlait. Elle avait un pré sentiment bizarre … Et oui, ce pré sentiment se fit réel !

La personne s’était approchée de sa cage, ce qui intrigua légèrement Kyoko. Mais elle ne fit aucun geste pour retourner au fond où d’éviter les paroles. Au contraire. Elle regardait avec attention la jeune femme qui se présentait sous le nom de Maki Yû. Elle lui demandait sans indiscrétion son nom. Et alors, ce que chaque neko attendait d’un maître ou d’une maîtresse. Si la neko voulait sortir de sa cage ! Soudainement, Kyoko ouvra grand les yeux et ceux-ci devinrent plus rouges qu’ils ne l’étaient déjà. Elle répondit d’une voix claire mais encore froide :

« Kyoko. Je m’appelle Kyoko. »

Elle fit un geste pour avancer son visage plus près des barreaux. Pour se soutenir, elle plaça ses mains sur les barreaux même en les tenant bien fort.

« Je serais ravie d’être enfin libre… »

Le vendeur ne semblait pas trop d’accord après avoir entendu cela. Il essaya d’intervenir.

« Cette neko ne vous conviendra pas madame. C’est une neko désobéissante. Elle est une ancienne meurtrière et même si vous la preniez, mieux vaut la torturer, ou à la limite, la piquer. »

Kyoko lança un regard noir au vendeur. De quoi il se mêlait celui-la ! Malgré son passé, elle voulait faire un effort pour éviter tout désastre causé par son arme. Si il le fallait, elle serait prête à défendre sa maîtresse de tout acte de méchanceté lancé contre elle. Simplement, Kyoko voulait sortir de cet cage infinie et enfin revoir un peu de liberté !

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De multiples cages se situées dans cette pièce... Toutes habitaient par des occupants, des esclaves néko bien sûr. Beaucoup avaient l'air fatigués, triste, pour Maki c'était compréhensible : Comment être enfermer dans une cage sans tourner en rond, devenir fou, ou être heureux d'être enfermer.

Maki en écoutant Kyoko, dont elle venait juste d'apprendre le nom, compris que tous les nékos pouvaient penser, parler, en bref il s'approchait de l'humain, mis à part leurs queues et oreilles. C'était encore plus inhumain pour elle d'enfermer, une créature mi-animal, et mi-humaine, elle ne savait pas vraiment qualifié les nékos... Pour elle ce n'était ni des humains mais s'en rapprocher fortement, ni des Animaux mais ils possédaient quelques attributs.

Maki de nature craintive ne put s'empêcher de faire un pas en arrière en voyant les grands yeux rouges de Kyoko, mais compris qu'il n'était pas vraiment agressifs. Kyoko possédaient de longs cheveux noires, même si la néko n'était pas debout, on pouvait dès le premier coup d'oeil savoir qu'elle était plus grande que Maki.

Quand Kyoko lui dit qu'elle serait heureuse si elle sortait de cette cage, Maki décidât qu'elle l'achèterait, elle n'aimait pas donner de faux espoirs, et Maki voulait vraiment la libérer.

"Alors, je vais te libérer."

Le vendeur les rejoignit peu de temps après, juste pour expliquer à Maki que Kyoko, n'était pas un choix judicieux... Qu'elle était une meurtrière, etc... Maki n'aimait pas vraiment cette façon de faire du vendeur, mais se demanda si c'était vrai... Maki était vraiment craintive, et n'aimait pas mettre sa vie en danger... Mais peu importe pour elle, elle avait déjà dit à Kyoko qu'elle la libérera, elle ne retournerait pas sur sa parole, et elle aimait bien l'inhabituelle.

"Je ne pense pas, puis si je prends une néko, ce n'est pas pour qu'elle devienne une moins que rien, obéissant au moindre de mes ordres... Puis, je la prends."

"Très bien, suivez-moi, pour faire l'achat."

Maki le suivit et récupéra les clés, puis revint vers la cage. L'achat se fit d'une rapidité, monumentale, comment pouvait-on acheter un être pensant en si peu de temps ?

"J'ai oublié de te dire, tout à l'heure, que je trouver ton prénom très jolie. J'éspère que tout se passera bien, sache juste que pour moi tu n'es pas une esclave, je te fournirais tout ce qui t'es nécessaire, toit, manger, tout ce que tu désire... Bon voilà, j'ouvre la cage, tu seras libre dans quelques instants."

Elle ouvrit la porte de la cage, assez doucement, et repris la parole :

"Te voilà libre"

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Le coeur de Kyoko battait à plein temps. Elle regardait Maki avec ses oreilles noires dressées vers elle. Elle espérait tant, comme si elle rêvait. Mais ce rêve devint réalité. Maki voulait bien la libérer. Malgré son caractère qui pouvait être insensible à tout, la neko sentait un peu de joie et de bonheur. Elle aurait voulut sauter en l’air, mais cela n’était pas possible vu la taille de sa cage, et puis, elle se ferait remarquer pour un changement de caractère face aux gens.

Il fallait que ce fichu vendeur s’incruste, pour expliquer ce passé d’horreur. Cela ne faisait pas peur à Kyoko, mais elle fixait toujours Maki quand le vendeur fut là. Et, chance qu’elle avait, Maki accepta quand même de l’acheter malgré tout ce qu’avait dit le vendeur. Kyoko ne souria pas, mais elle ressentait au plus profond d’elle encore un sentiment de bonheur.

Après que Maki, sa maîtresse désormais, ait récupéré les clés de sa cage, Kyoko essaya de sourire. Ne serait ce qu’un peu. Mais non, rien ne fit changer le mouvement de ses lèvres apart la parole. Ce que rendit une bonne humeur à Kyoko, c’était déjà que sa maîtresse aimait bien son nom. Puis quand elle lui expliqua qu’elle n’allait pas l’utiliser comme esclave, ça « adoucit » Kyoko, cela la soulagea un peu de cette pensée d’esclavage. Elle avait déjà envie d’être plus sympathique avec Maki.

Kyoko e fit qu’un bref hochement de tête quand Maki annonça qu’elle allait ouvrir sa cage. La neko retira donc son visage et ses mains des barreaux. Elle fit alors un geste pour reculer un peu et attrapa son katana de la main gauche. Après avoir entendu une phrase disant qu’elle était enfin libre de la part de sa maîtresse, Kyoko sortit doucement mais sûrement de la cage, tenant toujours aussi bien son katana. Elle regardit sa maîtresse qui était quand même un peu plus petite qu’elle. Elle s’inclina légèrement vers l’avant et répondit :

« Merci beaucoup Maki »

En se remettant droite, elle remarqua qu’elle tenait son katana. Elle jeta un bref regard de ses yeux rouges à Maki et avala sa salive. Elle finit par parler avant que sa maîtresse ne dise quelque chose, que ce soit par rapport à son arme ou pas.

« Maîtresse, je suis désolée de vous dire que je possède une arme, un katana. Cet objet m’est très précieux à mes yeux. Cela doit vous faire peur, je m’en excuse vraiment. Je … »

Puis, ne sachant plus trop quoi dire ou de s’excuser, elle se tus et baissa son regard vers le sol en avalant une fois de plus sa salive. Elle espérait cette fois de tout son cœur que Maki n’allait pas la rejeter pour cela. Mais ce n’était pas encore sûr. Ce katana, assez long pour Kyoko, devait certainement faire peur à la jeune femme, et donc la neko stressait un peu.

[Désole pour cette grande attente! Si jamais, tu peux aller lire le message posté par Shuw, celui de son absence! ça me concerne également!]

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[ Pas grâve, bien passer tes exams ?]

Quand Maki avait dis à Kyoko qu'elle était libre, même si elle en remarquait pas une très grande différence au niveau de l'expréssion du visage de la néko, Maki savait qu'elle serait quand même plus heureuse d'être en dehors de cette cage.

Maki espèrait que Kyoko apprécierait vivre avec elle, elle voulait vraiment que la néko se sente bien, et qu'elle puisse vivre tranquille hors d'une cage. Même si elle vivait encore pour l'instant dans une chambre d'hôtel, grâce aux sous que ses parents lui avaient donné, elle espèrait que ça suffirais pour l'instant à Kyoko.

Quand kyoko sortit, assez lentement, de la cage, Maki fut figé sur place, même paralisée à la vue de l'arme portée par la néko, elle se demandait, se posait pleins de question... Chaques fois qu'elle avait peur, elle pensait au plus mauvais scénario... Elle ne put rien demander, complétement dans ses pensées, paralisée... Mais elle remis pied sur terre lorsque la néko lui expliquait pourquoi elle possédait une arme.

Maki était en géneral contre le port d'armes, surtout dans son entourage... Mais après qu'elle attendit la raison, elle décida de ne aps y faire attention pour l'instant, elle pourrait en parler de toutes façons, après....

" Tu as dut remarquer.... Que je suis assez craintive... peureuse, tout dépent comme tu peux me définir.... Mais si tu veux vraiment garder cette arme, je ne te forcerais pas à l'abandonner, mais si tu pouvais y faire attention, s'il te plait."

Quand Kyoko se mis debout entièrement, Maki se sentit vraiment très petite, comparer à la néko.... Si Kyoko venait à vouloir l'obliger à faire quelque chose par la force, elle serait obligé de le faire sous peine de finir sans tête... Maki ne pensait pas que Kyoko essayerais de faire quoi que ce soit contre elle.... Même si pour elle Kyoko n'avait peut-être aps l'air de la plus douce des nékos, elle pensait qu'elle ne lui ferait jamais aucun mal.

" Tu es plus grande que moi, je me sens toute petite.... Est-ce que ça te dis de voir ton nouveau chez toi ? Enfin pour l'instant je n'ai que une chambre d'hotel, mais on peut y vivre à deux, bientôt je pourrais surement acheter une maison."

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Kyoko était donc bel et bien sortie de cage. Elle regardait sa maîtresse d’un peu plus haut, écoutant ses paroles avec ses oreilles légèrement vers l’arrière. Elle ressentit une vague de stress s’enfuir d’elle, pour être remplacé par l’espérance. Elle montra un regard déterminé à Maki. Elle répondit donc :

« Maîtresse … Maki … Je ferais très attention à mon Katana ... De plus, si il vous arrivait quelque chose … si quelqu’un vous agressait … je pourrait vous protéger … Mais je vous le jure, je ferais attention … »

Elle prit une bonne inspiration, avala sa salive encore une fois, et misa son regard vers Maki. C’est alors que maki parla de son chez-soi, invitant Kyoko à venir visiter. Elle expliqua que ce n’était qu’une chambre d’hôtel, mais que c’était vivable à deux. Kyoko, elle, se réjouissait déjà d’avance.

Kyoko réfléchit. Pendant une seconde, elle s’imaginait la chambre où elle allait vivre pendant une période. Pour elle, peu importe l’endroit, tant qu’elle avait un abri, de quoi manger et boire. Tout cela suffisait pour la rendre un peu heureuse. La neko se baissa légèrement, pour mieux regarder Maki. Elle regardit d’un air sincère mais sans laisser échapper un sourire cette fois.

« Maki, je vous suit reconnaissante de m‘avoir sortie de cet espèce de prison. N’importe quelle endroit où vous vivez me plait. Je serais ravie de vous suivre pour découvrir mon nouveau chez-moi »

Elle voulut hocher la tête, mais elle ne le fit pas et se contenta de regarder sa maîtresse. Elle ne ressentait aucune envie de lui faire de mal, de lui faire peur ou autre. Enfin, si cela arrivait maintenant, ce serait pour des inconnus, comme ceux qui voudraient faire du mal à Maki Yû.

(J’ai fait quelques examens hors sessions, anglais et néerlandais écrit. Ça a fort bien été =) maintenant, je stress un peu pour me sessions 0 .o)

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Maki qui n'était pas rassurée avant les parôles de Kyoko, le fut complétement après que Kyoko lui dit qu'elle ferait attention. Elle avait beaucoup moins peur de Kyoko, et se demandait même déjà les activités qu'eux deux pourraient faire lorsqu'elles n'avaient rien à faire ! Une soudaine pensée venu à l'esprit de Maki : Si Kyoko jouait la comédie, pour mieux arriver à je ne sais quoi ? Mais cette pensée s'enfuit aussi vite qu'elle était venue, puisque Maki pensait sérieusement qu'il ni lui arriverait rien de mal !

Maintenant, Maki la seule chose qu'elle voulait faire, pour l'instant était de sortir de cette endroit, où l'atmosphère était lourde, et les couleurs sobres, ce qu'elle n'aimait pas téllement ! Ce décor pouvait faire peur à n'importe qui, même au plus dur d'entre nous, presque, ou tout du moins, il laisserait une trace, voir hybride, si on peut appeler ça comme ça, dans des cages, ce n'était pas ce que Maki aimait plus que tout !

Tous les nékos ici, se ressemblaient, non pas que grâce à leurs oreilles et leurs queues, mais à cause de tout, il y avait que Kyoko qui changer vraiment, c'était la plus différente, déjà physiquement et surement moralement... Bien que Maki n'est pas parler à d'autre Neko, elle pouvait le deviner.

Maki était vraiment contente, quand Kyoko lui dis qu'elle voulait bien visiter sa nouvelle maison, elle fit un sourire et dis :

" Pour l'instant, ma chambre n'a pas dut être faites, si tu veux on peut aller t'acheter de nouveaux vêtements, ou simplement promener, à toi de choisir. Est-ce que tu aime les glaces ?j'ai remarquais un marchand de glace pas loin, il vends aussi des boissons, mais, si tu aime ça je peux en acheter sinon autre chose."

*Je ne sais pos si c'est une bonne idée, la glace, mais il fait chaud ici, je pense qu'elle aimerait se raffraichir*

[ Bonne chance pour le reste de tes examens]

» un retard a l'animalerie[pv maitre ou maitresse]
» et encore a l,animalerie >< (un maitre ou une maitresse)
» attend depuis 17 ans, recherche maitre ou maitresse