'Tite rebellion [PV Kotaro] Terminé!

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Nyzïa était dans sa cage, les poings liés dans son dos. Le vendeur devait avoir eu vent de ses nombreuses fugues et n'avait, peut-être, pas très envie de perdre son bouleau... Ou sa vie. De toute façon, elle se fichait pas mal de la corde qui lui sciait les poignées. Même attachée, elle arrivait à faire un boucan d'enfer, ce qui éxedait les vendeurs. Elle, tout ça la faisait plutôt rire. Voir ses visages déformés par la colère était réellement hilarant, avec un peu de recul. En plus aujourd'hui, le vendeur était un jeune homme extrèmement suceptible et macho, mais très lâche. Avec lui, il suffit de placer quelque mot légerement blessant pour qu'il explose.

-Tais-toi espèce salope! Tu sers à rien, alors ferme ta gueule!-
"Parce que toi tu sers à quelque chose?"
-Et oui!-
"Alors à quoi?"
-... Tais-toi à la fin! Si tu continue, je te jure que...-
"Ouh! C'est pas bien de jurer. tu n'es vraiment pas poli!"
-Je vais te butter!-
"Ah! J'ai si peur! Non ne me touche pas! T'y crois vraiment?"

Il se retournat et alla verser sa rage sur une autre neko appeuré. Nyzïa était tordu de rire. Quel incapable ! Elle aurait peut-être dû avoir de la compassion pour l'autre neko, qui se faisait fouetter à sa place. Mais non, elle s'en fichait pas mal.

*Tu veux pas être fouetter? Bouge-toi l'cul ! Qu'est-ce qu'ils m'énerve ses nekos dociles... Toujours en train de trembler au lieu d'être fière. Après on se demande pourquoi notre espèce est réduit en esclavage...*

Comme elle pensait avec ferveur, elle n'entendit pas le silence soudain du vendeur. Elle n'entendit pas non plus le client qui entrait dans le magasin. Elle s'aperçut enfin de sa présence quand le vendeur lui souhaita le bonjour. C'est alors qu'elle courut au fond de sa cage, ce qui n'était pas très loin. Elle préférait juger elle-même ce client avant de ce montrer. Un sadique, elle reste cacher au fond de sa cage. Un gentil, elle se montre, il l'adopte, elle s'enfuit. C'est si facile ! Le seul problème, c'est que la méthode n'est fiable qu'à 50% parce que les gentils se montrent parfois méchants quand ils sont seuls avec vous et les sadiques passent parfois des heures dans le magasin pour trouver LA rebelle qu'ils pourront encore mieux humilier.

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Le temps c'était dégagé ce qui avait permit à kotaro de s'arrété devant l'animalerie laissant sa moto pratiquement à coté de celle ci. Il plaça l'antivol ainsi que son casque à la roue et commença à rangé ses affaires quand un gendarme s'arrétta à ses cotés.

-Monsieur, vous avez pas le droit de stationné ici.
-Bonjours monsieur l'agent.Ne vous a t-on jamais appris la politesse.Et puis je n'en est pas pour longtemps je viens cherché une amie.

L'agent de savais pas trop quoi répondre et ayant manqué de politesse il s'écarta de kotaro avant de s'éloignié manquant de ce prendre un poteau.Kotaro passa sa main dans ses cheveux pour les remettres en place et prit ses affaires qui était dans sa moto avant de rentré dans le batiments.

Rien qu'en abaissant la poigniés de la porte il entendais deja le cris des nekos à l'interieur, quel genre de traitement pouvait-il bien subir, rien de bien gentil à son avit. Il entra à l'interieur et commença à regardé toute les cages une à une, s'imaginant deja à leur place, les souffrances qu'il avais pu enduré. Il aurait bien voulut tous les ammenés malheuresement il ne pouvais en libéré qu'une seul n'ayant pas encore assez d'argent pour tout les prendres. Alors qu'il commençait à s'approché d'une cage mit à l'écart le vendeur lui sauta dessus.

- Bonjours monsieur.Que souhaité vous achetez. Une neko gentille qui prendra soins de vous personnellement ou alors une neko qui fera vos tache domestiques.

Kotaro n'aimais deja pas ce vendeur mais il gardé toujours son méme sourire et commença à le fixé dans les yeux.

- Yo, deja mon chere ami, je ne vient pas pour acheter mais pour liberer. Et de deux, je ne veux pas que qu'elle soit mon esclave ,juste mon amie étant donné que je viens d'arrivé dans cette ville .
- Mais monsieur. Les nekos ne sont la que pour...

Le vendeur eu beaucoups de mal à continué à parler à cause du regarde que lui lançé kotaro.Sous ses airs de gentil garçon se caché une ame de combattant et si le marchant continué a parlé ainsi des nekos,il passerait surment un mauvais moment. Finalement, le vendeur retourna s'assoir à son bureau laissant kotaro passé de cage en cage avant de s'arréte sur la cage qui avais était mis à l'écart.

Il s'approcha doucement de la cage et apperçue la neko ayant les mains lier. Il essayé de la regardé dans les yeux mais son regard était toujours fixé vers ses liens. Finalement il se retourna vers le vendeur et lui relança un regarde froid.

- Pourquoi cette jolie demoiselle est t-elle attaché ainsi?
-Elle m'a manqué de respect et elle est aussi tres violente...
-Je vois...

Il passa ses deux mains à travers les barreaux de la cage pour essayer de la faire s'approché de ses barreaux lui montrant qu'elle n'avais rien à craindre de lui et qu'il était pret à étre blessé pour rentrer en contact avec elle.

-Yo, je sais que c'est pas tres polie de te parlé ainsi, mais pourrais tu te rapprochais un peu, je ne te veux aucun mal, je veus juste détaché tes liens. Tu est deja bien assez emprisonner pour étre en plus attachés.

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Quand Nyzïa vit le jeune approcher, elle essaya de reculer au fond de sa cage. Ce fut assez difficile puisqu'elle y était déjà!

*Et merde, y m'a repéré! Mais il a l'air assez cruche pour que je puisse m'enfuir de chez lui facilement.*

En apercevant les mains qui avaient osées traverser les barreaux et qui étaient tendues vers elle, elle n'hésita pourtant pas; elle bondit et planta ses canines de félins dans la peau fine qui enveloppait ces mains. Un peu de sang, ça redonne des forces. Elle avait faim de sang. Depuis combien de temps n'avait-elle pas mangé de souris ou quelques moineaux? Trop longtemps. Elle avait envie de courir, de chasser, de sauter. En un mot, d'être libre. Elle garda la prise plusieurs minutes avant de lâcher pour retourner au fon de sa cage, en se léchant les babines.

*Tu veux me détacher mes liens... Pour faire quoi? Me foutre dans ton lit? Ou que je fasse le ménage? Vous les hommes,*"Vous êtes tous des machos ridicules."

Elle s'aperçut qu'elle avait dit les derniers mots à voix hautes. À la limite, elle s'en fichait royalement. Ce n'était que la vérité. Puisqu'elle s'était lancée pourquoi pas continuer? Elle reprit donc d'un ton acide:

"Kotaro... Quel nom ridicule! Si on décompose ça fait "côte à rots". Complètement idiot, ton jeu de mot débile. Ca t'arrive d'être intelligent?"

Pour accentué la moquerie, elle prit un air sérieux de pitié pour le jeune homme, cachant avec un peu de mal le sourire qui voulait pousser sur ses lèvres.Sans vraiment attendre de réactin de sa part, elle interpella le vendeur.

"Eh! Le machin qui sert de vendeur, tu peux m'enlever cet idiot de devant ma cage? Il m'empêche de dormir tranquille avec ses imbécilités..."

Le vendeur se retournat d'un air rageur mais ne bouga pourtant pas de son bureau.

"Quoi? Tu as peur des idiots? C'est vrai que toi, tu es pire que ça... Tu ne comprend peut-être même pas ce que je te raconte?"
- Si je te comprend très bien! Et tu vas voir ce que tu vas voir, si tu continues-
"MiawW" (Traduction= Je ne vois rien d'aure que deux idiots devant moi)

Tien, pendant qu'il était, il pouvait lui donner les clés, elle avait des fourmis dans les jambes, elle.

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Kotaro continuait de regardé la jeune neko qui essayé toujours de reculé de plus en plus loin de lui. Elle n'avais pas confiance en lui pour le moment mais il allait tout faire pour qu'elle est confiance en lui. Il eu alors l'idée de passé ses bras a travers les barreaux pour lui montrer qu'il ne lui voulais aucun mal mais c'était tout le contraire de la jeune neko. Elle lui mordis la main faisant par la même occasion saignié celui ci. Bizarrement kotaro ne se débattait pas au contraire. Il continué de sourire voyant la neko se reculais au fond de sa cage. Il continua de la regardé en serrant sa blessure pour éviter de mettre du sang partout. Il la regarda à nouveau dans les yeux.

-Je ne veus rien te faire de tout ça. Je veus juste que l'on soit amie. Après tout, pourquoi je te voudrais du mal. Je te connais pratiquement pas encore et sous tes airs de tigresse se cache un coeur d'or j'en suis presque certain.

A peine eu t-il eu le temps de répondre quel enchaîna sur autre chose. Il se mit alors à rire légèrement en passant sa main dans son cou tout en la regardant.

- S'il te revient pas, tu n'as qu'a m'appelé kota. Et si sa peut te rassuré je suis loin d'être un idiot mon amie.

Pour sur la jeune neko avait du répondant ce qui amusé particulièrement kotaro. Quand elle entendu la manière dont elle parlé au vendeur il se mit alors à rire et se redressa pour partir en direction du vendeur .Il tendit alors sa main vers lui tout en gardant son même sourire.

- Je vais la libéré donne moi les clés de sa cage.
- Mais monsieur, elle est dangereuse, elle vous à même mordu.
- Elle avais faim normal qu'elle met mordu imbécile. Maintenant donne moi les clé de sa cage.
-Je ne peut pas. Pas maintenant quelle a goûté votre sang.

Kotaro attrapa alors l'encolure du vendeur en le fixant dans les yeux.

- La prochaine fois que tu me répond ainsi tu risque de passé un mauvais quart d'heur.

Le vendeur commença à paniqué et donna aussi les clés de la cage de kotaro qui le remercia avant de ce dirigé vers la jeune neko. Il passa une nouvelle fois ses bras à travers les barreaux de la cage et déposa devant la neko les clés de sa libéré. Mais elle allez surment avoir un petit problème pour sortir de la ayant les mains encore attaché. Kotaro lui souriait une nouvelle fois en tendant ses main vers elle.

-Si tu as encore soif essite pas à me mordre mais je suis sur que tu préférés mangé quelques chose de meilleur. Tu n'as qu'a simplement me dire ton prénom et me demandé gentiment que je te libère et ton désire sera exaucé puisque tu ne pourras surment pas te libéré toute seul.

Il savais bien qu'elle n'était pas d'humeur très sympathique mais bizarrement plus le temps passé et plus il s'attaché a cette néko au caractère rebelle.

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Nyzïa le regarda. Son regard était furieux. Elle, une tigresse ? Elle aimait bien la comparaison. Mais qu'il veuille être son amie revlevait du miracle. Enfin, c'était facile à dire, elle pouvait très bien prendre des airs de pauvre petite neko affamée et abandonnée en lui disant que le vendeur était très très très méchant, alors que ce n'était pas vrai. Le vendeur étant un véritable trouillard.
Pourtant elle fut étonnée de le voir demander les clés au vendeur. Normalement, après ce qu'elle lui avait fait, les autres clients la délaissaient et allaient chercher une neko plus docile. C'était moins risqué pour leur peau.
Feignant d'être désinterrésser, elle écouta leur discussion d'une oreille attentive. Elle eut presque envie de rire en voyant le vendeur vert pâle suspendu au poing de Kotaro. Ce couard lui donna ensuite rapidement les clés. Il revint vers elle, passa les mains à travers les barreaux et ... laissa tomber les clés juste devant elle. Dans sa surprise, elle lâcha un petit cri d'incompréhension. Il lui expliqua que elle ne pouvait pas se détacher toute seule et qu'il fallait lui demander de l'aide.

*Ah ! Ca jamais ! Tu rêves belle et bien, mon coco !*

Malgré son assurance, elle s'aperçut qu'elle n'avait belle et bien pas le choix. Soit elle lui demander gentiment de la détacher, soit elle resterait là encore longtemps. D'un côté, le lui demander serait une forme de soumission, qu'elle n'acceptait pas. De l'autre, elle voulait être libre, courir, tellement elle avait d'énergie à revendre. Elle pouvait aussi le remordre, mais le sang humain, à l'image de la race, n'avait vraiment pas bon goût ! À très grand regret, elle dit enfin:

"Tu m'énerve vraiment beaucoup et ne crois surtout pas que je vais être gentille avec toi après ça. Je t'ordonne de me libérer... s'il-te-plait."

Elle prononca ses derniers mots comme si chacun d'eux lui arrachait la bouche. Pour accompagner ses paroles, elle lui lançat le regard le plus méprisant de sa réserve. Puis se souvenant, elle continua:

"Puisque ça t'interrèsse tant que ça, je m'appelle Nyzïa. Je t'inderdis formellement de m'appeller par mon surnom, que je te dirais pas d'ailleurs, ou par n'importe quel surnom que tu puisse inventer. Je m'appelle Nyzïa, point final."

Malgré sa méchanceté, elle commençait à apprécier le jeune homme. Il avait du sang froid et un soupson d'intelligence.

*Bah, oui c'est pas demain la veille que ferai un compliment à homme !*

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L'animalerie était devenue subitement calme quand kotaro dépossa les clés devant la jeune neko. Comme si un spéctacle était entrain de se déroulé et que le public regardé avec attention.Kotaro continuait de regardé Nyzïa tout en l'écoutant attentivement. Quand elle lui demanda de le libéré pour lui se fut sa premiére victoire sur la neko. Elle venait pour la premiere fois de lui prété vraiment attention. A vrai dire, elle n'avais pas le choix si elle voulais sortir de cette cage. Il reprit les clés dans sa main pour ensuite choisir la bonne clé qu'il enfonça dans la sérrure avant de faire sauté le locké. Il ouvrit la porte et regarda nyzïa dans les yeux en lui souriant.

-C'est un tres jolie prénon et il te va tres bien. Et si ça peut te rassuré je ne compte pas te forcé à etre gentille avec moi. Si tu reste avec moi pour le moment sa me convient parfaitement mais tu es maintenant libre d'allez ou tu veus.

Alors qu'elle était toujours dans la cage. Kotaro glissa doucement ses main dans la cage et enleva les liens qui attaché son amie. Mais avait il fait le bon choix, apres tout, Nyzïa n'avais pas l'air d'aimer les humains.

-Et voila maintenant tu est vraiment libre d'allez ou tu veux sans passé pour une prissoniere.

Il se releva et partie en direction du vendeur laissant tranquille son amie.Arrivé à la hauteur du marchand il jeta les clés sur le contoir en le regardant méchament.

- Et toi. La prochaine fois, si je revient ici et que je vois que tu maltréte encore une neko, je sais pas ce que je te fait mais sa sera surment quelque chose de désagréable pour toi.
-Oui monsieur...

Kotaro se retourna vers Nyzïa avant de la regardé dans les yeux.

-Si sa te dit on va faire un tour quelque part tout les deux. Tu as peut étre fain ou alors envie de te baladé. Ma moto est juste devant donc je t'emmene ou tu veus à moins que tu veuilles pas de ma compagnie...

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Elle regarda avec interêt Kotaro mettre la clé dans la serrure. Et ouvrir la porte en grand. Elle écouta les paroles sans y prété trop d'attention. Elle comprit juste les mots "Reste avec moi... mais tu es maintenant libre...". C'était les mots les plus importants pour elle. Enfin surtout le dernier, en particulier.
Elle voulut sauter et courir pour s'enfuir, mais son élan fut rapidement interrompu par les liens qui retenaient en core ses poignées. Elle se rassit en levant yeux au ciel.

*Il y avait donc un piège... Evidement... De la part d'un homme... À quoi d'autre s'attendre ?*

Il s'approcha, lui détacha les liens et s'écarta, comme pour la laisser passer. Elle en fut bien plus que étonnée, et elle sentait qu'elle n'était pas au bout de ses surprises. Ses jambes voulaient absolument courir, mais elle n'en fit rien. Quelque chose était, disons, bizzare chez Kotaro. Différent. Peut-être était-il réellement... un tout petit peu, très petit peu... gentil ?
Son regard passa plusieurs fois entre lui et le grand soleil au dehors. Kotaro... Dehors... Kotaro... Dehors... Kotaro... Dehors... Kotaro... Mais où était-il encore allé celui-là ? Près du vendeur. Qui était plus pâle que jamais. Même le linge de grand-maman n'était pas si blanc. Il en fesait mentir le proverbe "blanc comme un linge".
Kotaro se retourna. La fixa dans les yeux. Son regard était hypnotique. Il lui parla. Il devait s'apercevoir qu'elle le fixait aussi, légèrement rouge, elle répondit :

"Effectivement j'ai faim. Mais je suppose que tu ne connais pas de restaurant où il serve du moineau ? Ou, je peux aussi me contenter d'une souris... Mais j'accepte, et ce n'est pas pour tes beaux yeux, d'aller grignoter quelque chose avec toi. Si tu veux vraiment que ce soit pour quelque chose, considère que c'est pour ta belle moto."

Elle sourit, mais son sourire s'effaça rapidement.

*Ma fille, tu es en train de tomber amoureuse... Tu raconte n'importe quoi... Ca se voit dans tes yeux... Tais-toi grand-maman...*
*Je suis folle en plus....*

Elle se leva, en se frottant les poignées pour faire circuler le sang, puis se dirigea vers la porte. Elle s'arrêta juste devant. Inspira. Passa la porte. Expira, et reinspira profondément. Le soleil lui chauffait la peau doucement. L'éblouissait aussi, par l'intermédiaire d'une moto.

*Pourquoi lui ai-je dis que j'acceptais...*

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Kotaro faillit se méttre à rire quand Nyzïa lui demanda s'il ne connaissait pas un restaurant ou l'on servait de telle plat mais il savais ou il pourrait l'emmener pour lui faire plaisir. Il sortie alors les clés de sa moto de sa poche et se dirigea vers la sortie en regardant une derniere fois le vendeur.

- Oublie pas ce que j'ai dis sur les autres nekos mon ami. A une prochaine.Bye Bye.

Bizarrement quand il sortie tout était différent pour lui. Le décor était le méme cas sont arrivé à quelque chose pret. Maintenant il n'était plus seul. Il avais une nouvelle amie à ses cotés et il allais tout faire pour qu'elle soit heureuse à ses cotés. Il l'emmena en direction de sa moto avant d'enlevé l'antivol et donna son casque a Nyzïa en rougissant légerement de ses prochaine parole.

- J'ai oublier mon autre casque chez moi donc je te laisse le mien.Je voudrais pas qu'il t'arrive quelques choses alors que tu es si jo...

Il avais arrétté sa phrase juste à temps. Il s'imaginé deja la réaction de Nyzïa s'il l'avais fini. Il monta sur sa moto l'air de rien et la démara. Bien quelle soit impossante, elle avait un son manifique et une esthétique hors norme. Il avais cassiment passé sa jeunesse à la modifier jour apres jours afin de l'avoir à son image.Une fois en place il se retourna vers Nyzïa.

-Heu par contre il va falloir que tu te tienne à moi sinon tu risque de tomber. On va allez en direction du parc. Je pense que l'air frais va te faire du bien la bas. Ou alors tu veux peut etre allez ailleur ?

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[ Tu peux créer le topic dans le parc ?]

Elle prit le casque en écoutant les paroles de Kotaro. Elle ne rêvait pas il était en train de lui faire un compliment ! Dommage qu'il s'arrête avant la fin. Elle le regarda malicieusement.

"Alors que je suis si quoi ?"

Elle s'arrêta, elle aussi. Elle est en train de plaisanter avec un homme ! Sans lui jeter un regard, elle mit le casque sur sa tête. Elle l'enleva aussitôt. Ce casque était vraiment trop petit pour ses oreilles. Pourtant elle le remit. Il monta sur la moto.

"Si tu crois vraiment que je vais m'enlacer contre toi pour ne pas tomber tu te trompe !"

Elle s'approcha et, sans hésiter, monta sur le siège arrière. Elle observa longuement le dos de Kotaro.

*Où pourais-je poser mes mains sans qu'il croit que je le drague ?*

De toutes façons, elle n'avait pas vraiment le choix. Soit les épaules, soit les hanches, soit les fesses. Il y en a un qu'elle chassa immédiatement, à vous de deviner lequel. Elle opta pour les épaules. Bien que ce ne soit pas le top, c'était quand même le plus sobre. La moto démarra au quart de tour. Le vent lui siffla dans les oreilles, lui chantant la nature. Les maisons passaient à une vitesse de plus en plus grande. Quelques oiseaux tentaient de rivaliser avec la belle machine. Le soleil illuminait cette scène joyeuse. Nyzïa poussa un grand miaulement de joie. Enfin!

» Enfin quelqu'un pour lui... (PV Reira) [TERMINE]