Nisha a une maîtresse ! [Pv Symphoria ]

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Nisha "vivait" dans cette cage depuis maintenant des jours qu'elle ne contait plus. Elle en avait marre de se vendeur et de son fouet, de sa cage nettoyer une fois par semaine, de ses barraux et de ne pas pouvoir sortir !! Elle ne pouvait plus pleurer car elle avait déjà pleurer toutes les larmes de son corps.

Nisha était entrain d'essayer de s'endormir quand la sonnette de la porte d'entrer retentit. Une jeune femme, blonde, au corps de rêve entra dans la boutique. Le vendeur arriva tout de suite pour la draguer, mais celle ci sue sans débarrasser d'une façon qui fit qu'il ne vient plus l'embêter. Celle-ci passa devant toute les rangées de cage de Nekos, devant la sienne icompris. Nisha savait qu'elle ne serait pas prise, et c'est ce qu'elle crue quand la jeune femme passa devant sa cage et repartie. Mais celle ci revint sur ses pas et s'arreta devant la cage de Nisha.

Nisha se mit sur ses pattes, baissa ses oreilles et avança prudement vers les barreaux de sa cage, la jeune femme se baissa et leurs yeux se croisèrent. Nisha faisait peine a voir: oreilles battues, queue entre les jambes et les yeux au bords des larmes.

La jeune femme était très belle, vraiment très belle avec ses cheveux blonds. Le jeune Neko voulait que la jeune femme qui la regardait sois sa maîtresse. Elle se reprocha de la cage passa sa main et Nisha frissona quand la main de la jeune femme passa sur ses poils.

La jeune Neko vit que la jeune femme allait parler, elle attendit...

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Encore une fois… Peut-être la dernière fois… Deux Nekos, de la place pour trois… Cela l’obsédait… Il lui en fallait un autre, une autre, le genre lui importait peu. Beaucoup de brochures avaient vantées les bienfaits d’avoir un animal de compagnie chez soi, mais aucun n’avaient dit que l’on pouvait en devenir accro. Mais ce n’était pas le même amour pour les Nekos qu’avec une étudiante folle de la Kawaï attitude. Elle aimait ce qu’elle faisait avec eux, qu’ils la respectent, qu’ils la craignent, qu’ils l’adorent. Bref ce n’était que par pure égocentrisme qu’elle attrapa les clés de sa voiture d’un rouge sang parfait, signe que sa marque allait se poser sur un corps d’hybride innocent une fois encore. Pas si innocent que ça, elle l’espérait. Un rictus déforma ses traits avant qu’elle ne s’engouffre dans sa voiture. Bizarrement elle avait pris cet engagement en fin de journée et les lueurs s’amoindrissaient à chaque coin de rue. Elle regarda nerveusement sa montre qui paraissait tourner à vive allure. Une peur certaine la tiraillait… Allait-elle arriver à l’heure ? Ce fut la grande question durant le trajet, mais lorsqu’elle fut parvenue devant le premier magasin, cette frayeur la quitta car en effet, il était encore temps. Prenant une place correcte, elle s’activa jusqu’à la porte d’entrée et fit sonner la clochette de bienvenue. Finalement, elle aurait bien voulut avoir croisé une autre animalerie car le vendeur était infecte. Ses mièvreries ne cachaient absolument pas son jeu et ses blagues idiotes ne faisaient qu’empirer les choses. En fin de compte elle l’envoya paitre plus loin, à vrai dire, elle n’était pas attirée par ce genre d’homme et n’était pas là pour ça… Mais autre chose lui fit plaisir. Elle ne s’était pas attendue à cela et en soi, elle avait fait le bon choix de venir ici. Les cages étaient presque toutes occupées. Elle sillonna les allées, jetant des coups d’œil par-ci par-là, ne sachant où donner de la tête. Ce fut finalement une cage du fond qui la fit craquer. Elle n’avait rien d’extravaguant, rien d’attirant, rien de bien intéressant au premier regard. Mais, ce petit quelque chose brillait dans ses yeux. Elle l’avait par ailleurs dépassée et dû revenir sur ses pas pour la considérer une fois encore. Sa façon de regarder les gens cette soumission complète, oreilles rabattues et tout le tralala lui donnait des frissons. Elle se baissa à sa hauteur et passa ses doigts à travers la cage pour lui ébouriffer le poil. Intrigante réaction… Elle se mit à tripoter ses oreilles puis prit la parole :

« Alors comme ça tu aimerais sortir d’ici ? Cependant es-tu prête à m’endurer ?… Ferrais-tu tout pour ta maitresse ? Lui obéiras-tu ?... »

Elle approcha son visage des barreaux de sa geôle pour mieux voir sa pensionnaire.

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Nisha avait pendant de nombreux jours pas senti sur ses polis une main humaine. Quand le jeune femme passa sa main, ses poils s'ébouriffièrent, un reflexe naturel. Nisha avait toujours eu une attirance pour le danger mais ne s'en était jamais approché. Elle sentait que cette jeune femme était particulière, qu'elle savait ce qu'elle voulait et savait le faire comprendre. Nisha réfléchie à se qu'elle lui demanda le jeune femme et après une longue réflexion elle répondit:

- Oui je te suis, après tout c'est toi l'Humain.

Et juste à se moment là le vendeur arriva, commença à relooker la jeune femme. Nisha vit que la jeune femme en avait plus qu'assez. Elle érissa ses poils, baissa ses oreilles et gronna un bon coup le vendeur se qui le fit sursauter. Il repatit tout peureux. Nisha vit que la jeune femme avait décocher un joli sourire qui lui allait très bien. Nisha attira l'attention de la jeune femme, la regarda droit dans les yeux et lui dit :

-Je veux bien te suivre, de toute façon tu ne doit pas être pir que cette maudite cage !

Et c'est comme sa que Nisha venait de trouver une maîtresse.........

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Un silence. Un long silence. C’est ce qui régnait à cet instant entre les deux femmes. L’une semblait réfléchir, l’autre paraissait dévisager la pensive. Elle pesait le pour le contre et tentait de faire le point sur sa condition. Ce silence trahissait quelque chose d’évident. La Neko avait sentit le danger. En raison de la demande de l’humaine ? En raison de sa prestance ? Cette longue attente lui fit presque regretter de lui avoir posé cette question. Après tout, ce n’est qu’un chat qui est incapable de réflexion ! Qu’elle lui dise oui, qu’elle lui dise non, cela ne faisait aucune différence, c’est elle qui aurait le fin mot de l’histoire. Mais elle finit par lâcher sa réponse. Tout bien considéré, elle avait choisit la voie la plus prometteuse mais aussi la plus dangereuse. Ce qui fit cependant tiquer la femme fut son tutoiement qui l’aurait descendu au même degré qu’elle. Elle ne le supporta pas et fut prête à lui faire regretter cela lorsque le vendeur, toujours intéressé par son corps, vint à s’approcher trop près de sa bulle de confort. Elle se décida à se retourner pour l’envoyer balader lorsqu’il recula prestement. Ce n’était pas à cause d’elle, elle n’avait rien dit. Cependant la Neko derrière elle avait feulé protégeant ainsi sa maitresse. Ce ne fut pas pour lui déplaire, elle se surprit même à sourire. Non, ce qui lui refit monter en elle cette haine fut qu’elle lui adressa encore une fois la parole en la tutoyant. Alors qu’elle avait encore ses doigts dans ses minces cheveux, elle les agrippa fort avant de poser son visage contre les barreaux :

« Je suis ta maitresse et j‘exige que tu ne me tutoie pas. On va s’entendre si tu respecte les règles, petite. »

Puis elle la lâcha soudainement avant de se relever pour faire signe au vendeur qu’elle la prenait. Tandis qu’elle payait en carte bleue, la porte de la cage s’ouvrit, laissant sa pensionnaire sortir prudemment. Elle la regarda se relever et attrapa le fameux collier pour le lui attacher bien fermement au cou. Puis le bout de la laisse vint lui aussi s’accrocher à elle pour enfin qu’elles sortent toute deux dans la rue qui commençait à s’assombrir.

» et encore a l,animalerie >< (un maitre ou une maitresse)