Un petit Neko rebel à adopter [libre]

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Mizu était alors en train de faire la manche dans la ville lorsqu'un groupe armé vint lui rendre une petite visite. Ces hommes appartennaient à un groupe de chasseur de Neko, qui leurs permettront de les vendres pour ensuite se faire du pactole. Les inconnus s'approchèrent du Neko tout doucement essayant de ne pas éveiller ses soupçons, mais lorsque Mizu tourna la tête il vit un homme armé et c'est alors qu'il se leva et partit en courant vers un chemin qu'il ne connaissait pas du tout. Il courut pendant au moin une bonne demie heure lorsque celui-ci se retrouva dans une impasse, il chercha une issue mais il n'en trouva pas. Les chasseurs se retrouvèrent alors face à lui près à en découdre, ils prirent leurs filets mais n'arrivèrent pas à l'avoir, il était tellement rapide, puis le Neko courut vers un chasseur pour lui sauter dessus et l'envoyer droit au mur. Ce Neko n'avait pas l'air d'être docil, un chasseur prit alors un fusil à flêche anesthésiques, Mizu en reçut une en plein cou et s'écroula subitement au sol endormit.

Lorsqu'il se reveilla, il se retrouva à l'intérieur d'une simple cage, juste assez grande pour qu'il puisse se mettre à quatre pattes. Quand il reprit veinement ses esprits, il regardait les alentours enfermé dérrière ces barreaux métalliques, il pouvait voir qu'il n'était pas le seul enfermer dans ces cages, il y'avait une dizaine de Neko dans la même situation que lui. Plusieurs personnes était à l'intérieur, notamment des gens en train de contempler les jeunes créatures enfermé . Lui qui croyait que l'esclavage était aboli depuis des années, et bien non.

Maintenant il ne savait pas trop quoi faire, il devait sans doute attendre quelque chose de bien particulier. Beaucoup de monde passèrent devant, il leur fit des regards méchant montrant qu'il ne fallait mieux pas rester dans les parrages. Mizu était toujours à quatre pattes comme le chat qu'il est, ces vêtements n'était pas trop abimés et pour l'instant il ne savait pas quel sort on allait lui reserver.

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Nao s'était enfin décidée à adopter un hybride. Dans la mesure du possible, elle comptait d'ailleurs en acheter plusieurs pour qu'ils ne se sentent pas seuls. Car qui savait si elle serait une bonne maîtresse ? Nao doutait sans cesse de sa personne.
Un matin, elle se mit en route vers l'animalerie, profitant d'une journée ensoleillée au matin frais pour pouvoir y aller à pied, sa maison n'étant pas trop loin de ladite animalerie.
Dans la rue, les gens se retournaient sur son passage : une jeune fille, toute de noire vêtue, ayant l'air de sortir du XIXème siècle d'après le style de sa robe longue... et l'air dans la lune. Il est vrai que Nao est assez rêveuse.

Elle poussa d'une main nonchalante la porte de l'animalerie, faisant tinter allègrement la petite clochette qui prévenait le vendeur de l'arrivée d'un nouvel acheteur potentiel.
Celui-ci arriva bien rapidement et salua Nao avec déférence. Ils échangèrent quelques paroles en un dialogue court, puis il fut convenu que la jeune fille visiterait la boutique à sa guise et appelerait le vendeur si elle trouvait un hybride qui l'intéressait.

Nao entreprit donc de déambuler lentement dans les rayons, entre les cages, regardant les nekos : tantôt très mignons, d'autres fois plus virils, plus ou moins âgés, plus ou moins vêtus [hum ! XD], il y en avait pour tous les goûts. Soudain, l'hybride d'une cage attira son attention : alors que les autres nekos essayaient d'attirer l'attention de la visiteuse, celui-ci lui lançait un regard délibérément mauvais, comme pour lui signifier "Ne t'approche pas de moi !". Des cheveux blonds, un corps mince mais pas frêle, il était somme toute joli, et il se dégageait une impression de sauvagerie de son être.

Subjuguée, la jeune fille s'approcha de la cage et s'accroupit devant l'hybride, pour être à sa hauteur. Elle sentit qu'il n'allait en aucun cas faire le premier pas, aussi se résolut-elle à parler :

- Bonjour... Tu as l'air de rejetter en bloc tout ce qui est ici... Dis-moi, ça te dirait d'en être libéré ? De sortir d'ici ?

Nao réfléchit un moment après avoir prononcé ces paroles. Il ne serait certainement pas aussi facile d'apprivoiser ce neko que de vivre avec sa famille d'avant, mais elle était résolue à le faire. Il l'avait intriguée, et si elle repartait de cette animalerie, ce serait avec lui et pas un autre. Puis elle repensa à ses paroles, et espéra ne pas avoir commis de faute ou d'offense envers l'hybride.

- Ah, j'avais oublié... Mon nom est Nao, Nao Toriiwa. Et toi ?

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Le jeune Neko était toujours enfermé dans cette cage et quand est-ce que ce cirque allait bientôt terminer, lui même et ni personne ne le savait vraiment. Mizu continuait toujours son cinéma, en grognant et lançant quelques regards tyrannique aux personnes passant devant lui. Mais maintenant le jeune Neko se dit si s'était vraiment la meilleur solution de faire fuire tout le monde alors que son premier souhait était de pouvoir sortir de cette cage. C'est alors qu'en pleine seance de nettoyage que Mizu vit une jolie jeune femme rentrer lentement dans la petite animalerie. Cette femme était vraiment sublime malgré quelle portait une tenue assez étrange pour ceette époque mais c'est ce qui lui faisait tout son charme. Il la regarda parler avec le vendeur et ensuite faire le tour de la boutique, elle passa devant tous les Nekos sans s'arrêter juste au moment où elle s'arrêta devant sa cage où elle s'accroupit pour arriver à son niveau. Elle lui proposa gentillement de sortir d'ici, puis la jeune femme se présenta tout en lui demandant quel était son petit prénom.
Au départ c'était un geste de rétissance qu'il lança à la jeune femme en lui grognant dessus, puis le vendeur ce rappriocha de la jeune femme pour lui dire :

Vous ferez mieux de choisir un autre Neko, celui-ci n'est pas vraiment docile et ne suit les ordres qu'on lui demande de faire. Nous en avons d'autre si cela vous interesse. De plus celui-ci n'aime pas vraiment la compagnie des autres personnes et peu devenir très dangereux, l'on ne peut pas prédir ses actions à l'avance.

La jeune femme n'avait pas l'air de vouloir partir d'ici sans lui. Mizu tourna en rond à l'intérieur de sa cage avant de s'allonger dos à la jeune femme. Puis il se dit, que ce n'était pas vraiment la meilleure solution à choisir pour pouvoir un jour sortir d'ici, alors il dit d'un ton très sobre et assez hésitant :

Moi c'est Mizu, Mizu Tenko.

C'était la première fois que le jeune Neko sortit un mot depuis qu'il était dans cette animalerie. Puis il se retourna pour montrer son visage à la jeune femme et essaya de sourire légèrement mais cela était très dur pour lui.

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- Vous ferez mieux de choisir un autre Neko, celui-ci n'est pas vraiment docile et ne suit les ordres qu'on lui demande de faire. Nous en avons d'autre si cela vous interesse. De plus celui-ci n'aime pas vraiment la compagnie des autres personnes et peu devenir très dangereux, l'on ne peut pas prédir ses actions à l'avance.

Nao sursauta lorsque le vendeur qui s'était rapproché d'elle lui parla. Elle était tellement absorbée par l'observation du neko qu'elle avait devant elle qu'elle n'avait pas senti approcher le vendeur.
Une moue lui vint au coin des lèvres, et elle fronça les sourcils :

- Cher monsieur, loin de moi l'idée de vous offenser d'un quelconque manière, mais il me semble que votre tactique de vente est à revoir... Il se trouve que, malgré le fait que je ne sois pas des plus perspicaces, j'ai remarqué que ce neko n'est pas vraiment docile... et que j'ai également remarqué qu'il y avait d'autres nekos ici. Néanmoins... c'est celui-ci qui m'intéresse.

La jeune femme et le vendeur se jaugèrent un instant du regard, puis ce dernier esquissa un sourire de fausse excuse, et marmonna que bien sûr, il n'avait pas à intervenir dans le choix de la demoiselle, mais qu'il ne faisait que la conseiller car sa sécurité lui importait.
Nao ne supportait pas l'air condescendant qu'il avait envers ses nekos, encore moins envers celui qui avait capté son attention, tout celà parce qu'il était moins docile.

Un neko est un être au même titre qu'un humain..., susurra-t-elle entre ses dents, pas assez fort pour que le vendeur l'entende, mais peut-être assez pour que le neko, lui, le puisse.
Elle sourit au vendeur en lui disant qu'elle parlerait encore un peu avec le neko avant de se décider, qu'elle l'appelerait si besoin, et qu'il n'était pas nécessaire qu'il vienne pour interrompre son dialogue avec le neko.
Une fois le vendeur reparti à l'avant de la boutique, elle se retourna vers le neko :

- Excuse-moi pour cette interruption, et pour ses propos... Je n'en tiendrai pas compte, je n'ai aucun a priori sur toi, quoi qu'il ait pû me dire.

Le neko lui avait tourné le dos pendant qu'elle lui avait dit ça. Une légère déception marquée de tristesse voila le visage de Nao. Puis elle entendit qu'il répondait à sa question, et acceptait de lui donner son nom. Elle vit ensuite qu'il se retournait et qu'il essaya d'esquisser un sourire. Elle n'en demandait pas tant. Rien que le fait qu'il ait accepté de lui parler, de lui dire son nom, donc de lui témoigner un tant soit peu d'intérêt, emplissait le coeur de la jeune femme de joie.
Elle répondit donc à son sourire par un autre, qui éclaira joliment son visage. Puis elle lui demanda timidement :

- Mizu... Il semble évident que tu veux sortir d'ici. Veux-tu que je t'adopte ? J'ai une grande maison, tu y auras de la place, et j'adopterai sûrement quelqu'un d'autre que tu ne te sentes pas seul neko dans cette grande demeure, et... Enfin, je m'emballe dans mes propos, peut-être attends-tu un tout autre genre de maître... En tout cas, moi, j'aimerais bien pouvoir te sortir de cet endroit. Alors si tu veux bien, n'hésite pas...

Elle lui avait parlé d'égal à égal. Lui avait demandé son avis. A l'autre bout de la pièce, le vendeur, qui avait entendu les paroles de Nao, se dit que cette jeune femme devait être définitivement folle. D'abord vouloir ce neko, et ensuite lui demander son avis... Il secoua la tête d'un air contrit.

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Le jeune Neko qui s'était légerement retourné pour se présenter à la jeune femme qui était posé en face de lui, pouvait voir celle-ci heureuse, puis il l'écouta parler en compagnie du vendeur qui lui déconseillait strictement de changer de Neko, mais la femme n'avait pas l'air de vouloir l'écouter rabaché ses conseils.
Quand le vendeur partit à l'opposé de la salle, Mizu avait pu entendre ce qu'avait dit la jeune femme qui avait marmonné que les Nekos étaient tout aussi important que les humains. C'était la première fois qu'il pouvait entendre sa de la part d'une personne voulant adopter un Neko, malgré que Mizu ne soit pas du tout dressé, il ne blesserait jamais une femme, non pas qu'il soit galant, mais que celles-ci ne lui avait tout simplement rien fait. Au contraire des hommes qui ont tué sa mère devant ses yeux sans qu'il n'est put rien faire à part de les tuer sur le coup. Mizu avait un côté assez dominant mais cela dépendait de quel genre de personnage il avait en face de lui. Le Neko adorait jouer de son physique devant les jeunes femmes, c'est alors qu'il passa l'une de ses mains dans les cheveux de la jeune femme pour dire d'une voix toujours aussi sobre :

Vous le pensiez vraiment à ce que vous avez dit ? C'est la première que je puisse quelqu'un comme vous dans cette ville d'anarchie. Partir d'ici à vos côtés serait vraiment une délivrance pour moi et puis je n'ai pas envie de rester une minute de plus ici.

Mizu observa alors quelques seconde le vieux vendeur qui se trouvait alors à la caisse en train de parler à des clients. Ce vendeur était vraiment la pire des personnes qui puissent exister, maltraitant les personnes inférieures ainsi que les femmes. C'était un personnage vicieu et perver qui ne cherchait qu'à satisfaire son objectif personnel, celui de contrôler toutes les personnes l'entourant dans son quotidien. Puis il se dit à voix très basse tout en aillant un regard très méchant vers le vendeur :

Un jours je le tuerais ce monstre ! Il profite de jeunes filles Nekos en les touchants et les baisants comme il le souhaite. Il faut me sortir de la ....

Puis Mizu attendit gentillement une réaction de la part de la jeune femme.

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Nao sentit le rouge lui monter aux joues lorsque le neko passa la main dans ses cheveux. Doucement, pour lui signifier qu'ils n'étaient pas proches, mais qu'elle tolérait dans une certaine mesure son geste, elle lui prit la main et la lui extirpa des mèches folles de ses cheveux qu'il avait caressées.
Elle écouta ensuite ce qu'il avait à dire, et fut envahie par l'allégresse lorsqu'il lui dit qu'il aimerait partir avec elle.
Cependant, une moue lui revint au coin des lèvres :

- Je n'ai pas pour habitude de dire des choses que je ne pense pas... Tout ce que j'ai dit précédemment, je l'ai effectivement pensé, bien que cela te surprenne apparemment. Chacun son histoire, n'est-ce pas ? Nous aurons largement le temps d'en parler... Je vais te sortir de là, quoi qu'en dise ce vendeur.

Elle vit ensuite Mizu regarder le vendeur d'un air qui l'aurait presque fait frissonner si elle en avait été la cible. Ce fut les yeux agrandis par l'incompréhension et la révolte qu'elle apprit les traitements que ce dernier réservait aux nekos, en particulier les jeunes filles. Elle fulminait. Mais mieux valait ne pas provoquer de scandale si elle voulait sortir dans un délai raisonnable de l'animalerie avec Mizu. Aussi lui dit-elle :

- Je reviens... Promis, je te sors d'ici.

Nao se dirigea vers le vendeur qui l'attendait d'un air renfrogné derrière un comptoir miteux où trônait une caisse-enregistreuse. Elle se posta devant le gros homme et lui dit qu'elle avait fait son choix et restait sur sa première décision. L'homme la regarda alors en faisant passer dans son regard tout le mépris dont il était capable.

- Mais... A votre convenance, madame... Je vous souhaite bien du plaisir avec cet énergumène... Si vous arrivez à le rendre docile, je me fais moine !

- Ne gaspillez pas vos venimeuses paroles ainsi... Quant à vous voir moine... enfin bref. Ne nous étendons point sur le sujet. Combien vous dois-je ?

Le vendeur indiqua un prix que Nao régla, puis il fit sortir de mauvaise grâce Mizu de son étroite cage. Nao l'accueillit à ses côtés par un sourire.

- Bien, allons-y ! Partons de cette animalerie. Y a-t-il un endroit particulier où tu veux aller ? Il est bientôt 11h30, si tu veux nous pouvons aller faire un tour en ville et y manger..., dit-elle en espérant que sa proposition soit bien accueillie.

Elle ne faisait plus aucun cas du vendeur, et focalisait à présent son attention sur l'être dont elle était désormais la propriétaire, bien que ce lien forcé ne soit pas un lien qu'elle approuvait. Elle préférait considérer cela comme un début d'amitié, ou quelquechose d'à peu près similaire, mais pas une relation de dominant oppresseur et de soumis au comportement dicté.

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Le neco accompagné de la personne qui l'avait libéré, partirent en direction de la sortie de l'animalerie.Le vendeur se trouvait juste derrière son comptoir en train de parler à ses clients. Tout d'abord la jeune femme partit en direction de l'homme pour régler le prix qu'il fallait, pour ensuite revenir chercher Mizu et se diriger vers la sortie. La jeune femme essayait plus que tout de ne pas lacher une parole à cet homme cruel qu'il était. Elle régla la note puis accompagné du Neko, partir...
Lorsque Mizu passa devant le marchand, une rage folle l'envahissait, plus il s'approchait de lui, plus il serrait les poings. Ses yeux se froncèrent de plus en plus lorsque d'un coups le Neko se jetta sur le vendeur pour le prendre par le col et lui dire doucement à son oreille :

Tu vois maintenant je suis liberé, alors je reviendrais te voir pour te faire la peau et t'enterrer dans le parc. T'as compris ce que j'ai dis ...

Puis il lacha rapidement le col de celui-ci, pour ensuite lui lacher un leger sourire sadique. Le marchand était blanc à la limite de tomber dans les pommes. Il n'eut même pas la force de dire quelque chose tellement qu'il fut surpris par la réaction du jeune Neko. Ensuite Mizu se retourna vers la jeune femme pour lui dire :

Escuse moi pour cette petite altercation.... Je veux bien aller manger quelque chose s'il te plaît...

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Nao ne sut que faire lorsque le neko se jeta sur le vendeur. Elle ne put esquisser le moindre geste, et se rendit compte que s'il le voulait, Mizu pourrait aisément lui imposer le même traitement. Toutefois, elle jugeait que le vendeur avait sûrement fait quelquechose qui expliquait le comportement de Mizu. Aussi ne s'en formalisa-t-elle pas, et attendit-elle que le neko revînt vers elle.

"Excuse moi pour cette petite altercation.... Je veux bien aller manger quelque chose s'il te plaît..."

-... Bien, alors allons-y. Suis-moi, s'il-te-plaît.

Suite du rp : ici

» chap 1 : Une neko "libre"... (Carrera)
» un neko et un neko rebelle (Daisetsu)