Attend après elle ne sait trop quoi... [ PV Masamoto Yoshi ]

Nombre de messages : 9 Age : 33 Date d'inscription : 12/01/2010

- Regarde maman, ils sont comme des chats ! Est-ce que leurs oreilles et leur queux sont vrais ?

Une petite fille d'environ 4 ans venait de franchire les portes de l'animalerie avec empressement, sa mère sur ses talons. Sans doute était-elle vraiment enjouer à l'idée de voir des nékos. Oui, ça devait être très exitant pour elle, un peu le même genre d'exitation qu'on ressant lorsqu'on va au zoo et qu'on s'exalte devant ces animaux en cage. Et Kumi était l'un de ses animeaux en question. Elle aurait du se sentir blessé. Elle ne l'était pas. Elle s'étais habitué...

Elle s'avança un peu, collant son visage aux barreaux, faisant bien attention pour ne pas se prendre les pattes dans tout ces rubants, dentelles et autres franfreluches dont le vendeur l'avait attriquée. Il l'avait égallement véti d'une robe. Pas le genre de robe d'été, confortable et tout, non... le genre de robe faite de soie et de dentelles qui nous donne l'impression qu'elle est telement fragile, qu'elle va se déchirer au moindre mouvement. si on ajoute à ça le fait qu'elle fini a la mi-fesse et laisse entrevoir une bonne partie de la poitrine, on en vien au comble. En fait, robe n'était pas le mots, déshabillé convenait mieux.

Pour en revenir à la petite fille, la mère de celle ci s'addressa au vendeur, celui ci lui fit signe de suivre l'un des employer vers un autre coin de la boutique. Kumi les suivit toute deux des yeux jusqu'à ce qu'elles disparaissent derière une étagère. Pour une fois que des acheteurs semblaient plutôt aimables, et il fallait encore qu'il les guide le plus loin possible d'elle !

Elle étais dans cette animalerie depuis maintenant 4 long mois. 4 mois où son emplois du temps se résumait à attendre après elle ne savait trop quoi. À coup sûr, elle aurait déjà été acheté si le propriétaire n'avait pas dépassé tout son temps et son énergie afin qu'elle reste invendu. Il voulait la garder au près de lui, ça elle l'avait compris depuis bien longtemps. Entre les petits regards remplis de sous entendu qu'il lui jetait et la panique qu'elle pouvait lire en lui dès qu'un client semblait la remarquer, elle en étais venu à l'évidence qu'il s'interressait un peu trop à elle. Et ceci restait un détail agaçant, malgré le fait qu'il n'ai rien tenté jusqu'ici... Rien que de songer à ce qu'il pourrait lui faire...

Elle fut interrompu dans ses pensés quand elle entendit la porte de l'animalerie s'ouvire.

Invité

Yoshi était à Neko City depuis déjà deux semaines, la ville n'avait quasiment pas changé, toujours pareille. Les mêmes bâtiments, les mêmes ruelles, les mêmes habitants, les mêmes principes : Les humains dominaient les Nékos. Il était content de voir que ses anciennes habitudes n'avaient pas disparus, c'était comme avoir un esclave, un domestique, c'était la normalité. Le jeune homme s'était installé dans un appartement en plein centre ville, c'était avantageux, il avait tout à sa portée comme cela (magasins, restaurants, soins). Il avait décidé de ne pas retourner à son manoir qu'il trouvait trop éloigné mais aussi démodé par rapport à sa génération. Quelques années à Tokyo l'avait complètement changé, décidemment.

Le jeune humain s'était installé qu'à moitié, son appartement n'était pas encore décoré comme il le fallait, il lui manquait des éléments essentiels mais surtout il lui manquait une chose extrêmement important : Une Néko. Oui, une Néko, il n'avait pas l'attention de s'en acheter un, une femelle s'était bien plus intéressante qu'un male. Un Male cela avait tendance à se rebeller et toutes ses choses insupportables à ses yeux alors qu'une Néko était ceux qui y avaient de plus insouciant et Yoshi en pouvait en profiter calmement.

La porte de l'animalerie s'ouvrit tout doucement, Yoshi avait tout d'abord pris le temps de regarder à l'extérieur à travers la vitrine. On voyait de loin si y avait des Nékos intéressants ou nom puis toutes les promotions ainsi que les offres étaient marqués de façon voyante. Le jeune homme entra dedans, à première vue, il semblait faire peur à plusieurs Nékos qui étaient dans les cages, c'est vrai qu'il avait une carrure imposante : des épaules bien taillés, un visage avec des traits bien marqués (mâchoire carré, des cheveux longs bruns), une belle musculature qu'on pouvait deviner à travers sa chemise.

En quelques secondes, le jeune remarqua une belle Néko au fond du magasin, elle était belle, c'était le mot. Tout doucement il s'approcha de sa cage, passa sa main sur les barreaux de la cage faisant un bruit assez effroyable à cause de ses bagues. Il haussa un sourcil puis posa une question simple à la Néko :

- Ton prénom, c'est ?

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Les portes de l'animalerie s'ouvrirent sur un homme à la carrure plutôt imposante. Après être entré, celui ci observa plusieurs nékos avant de poser les yeux sur elle. Visiblement, elle avait retenu son attention. N'osant pas le fixer plus longtemps, elle détourna son regard vers le sol, le temps qu'il s'intéresse à autre chose. Ce n'est que lorsqu'elle releva les yeux qu'elle remarqua qu'il s'étais rapproché, et se tenait à présent tout près d'elle. Au son désagréable que ses bagues provoquèrent au contacte des barreaux métalliques de la cage, elle frissonna tout en aplatissant automatiquement ses oreilles de chat sur sa tête. Elle releva l'une de ses deux oreilles pour l'écouter lorsqu'il s'adressa à elle.

- Ton prénom, c'est ?

La question était simple, banale, directe, pas compliquée, et pourtant cela lui pris quelques instant avant d'obtenir une réaction de sa part. Elle le fixa d’abor avec étonnement, la tête légèrement penchée sur le côté dans un geste qui lui était tout à fait unique, puis répondit.

- Kuuu...mi

Ses grand yeux le scrutant toujours, elle s'assit plus confortablement dans sa cage, replaçant légèrement le bas de sa robe, qui avait un peu trop remonté. Elle entrouvrit la bouche, comme si elle s'apprêtait à parlé, puis la referma rapidement, se rendant compte de son geste. Bon sang ! Elle lui avait presque demander également son nom ! Décidément, de baisser ainsi sa garde : il s'agissait d'un humain. Un homme qui plus est. Et elle savait de quoi ceux ci étaient capables...

Sur cette pensé, elle recula vivement à l'extrémité de la cage, le plus loin possible de lui. C'est ce moment que choisi le propriétaire de l'animalerie pour faire son apparition. S'avançant vivement vers le nouvel acheteur, puis, une fois à ses côtés, lui dit :

- Bonjour Monsieur, j'espère pouvoir vous aidez à trouver ce que vous cherchez aujourd'hui ! Venez avec moi, je vais vous montrer quelques un de nos nékos...

Puis il lui fit signe de le suivre.

Invité

Le jeune homme était avec la ferme attention d'achèter une Néko, il n'allait surement pas repartir les mains vides, c'était hors de question. Parcontre il n'en voulait qu'une, pas deux ou trois, c'était bien trop encombrant après un. Son atttention s'était porté sur une jeune Néko qui était au fond de l'animalerie, les passants n'allaient pas souvent vers le fond, pensant que betement que s'était des Nékos méchants ou indomptables qu'il y avait. Mais au contraire, la plus part du temps, c'était les meilleurs et ceux qui interessaient le gérant lui meme. C'était des choses que son père lui avait appris, les valeurs, les principes, c'était ceux qui lui avait laissé ce vieux homme.

Kumi, telle était le prénom de la jeune Néko qui se trouvait devant lui. Elle était mignonne, c'était vrai que ses vetements la mettaient beaucoup en avantage. Cela devait etre le propriétaire qui avait fait cela pour la mettre en avant et pour son bien personnel. Il continua à la fixer quelques instants, avant de passer sa main à travers les barreaux et toucha ses oreilles, c'était amusant la façon dont celle ci s'étaient repliés. Le jeune humain eut l'impression pendant un instant qu'elle allait lui retrouner la question mais elle ne le fit pas, comme Yoshi l'avait pensé elle était trop innocente et n'avait pas de répondant : La Néko parfaite.

Il voulut poser sa deuxième question lorsqu'il fut arreté par les phrases du vendeur, il était en trin de lui proposer une autre Néko, qui était dans les arrières boutiques. Yoshi voyait clair dans son jeu, il voulait la garder pour elle mais de quoi il se mélait, il la voulait et il l'aurait. Le jeune humain aggripa d'une seule main le col de la chemise du propriétaire et lui jeta un regard noire :

- J'ai absolument pas besoin de vos conseils ! Je la prends. Allons discuter prix.

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Kumi soupira devant le petit jeux de son propriétaire, encore une fois il détournait un client qui s'intéressait à elle. Elle n'en étais pas du tout étonné. En revanche, ce qui l'étonna, ce fut le geste et a réplique de l'autre homme. Il avait agrippé d'une seule main le col de la chemise de son propriétaire, puis lui avait jeté un regard noir tout en lui disant qu'il n'avait absolument pas besoin de ses conseils, qu'il me prenait et voulait aller discuter prix.

En le voyant ainsi, Kumi eu un peu peur de lui. Elle comprit alors qu'il faisait parti du genre de personnes qui savaient exactement ce qu'elles voulaient, et faisaient tout pour l'obtenir. Cependant, son propriétaire, lui aussi, était quelqu'un de têtu, il ne lâcha donc pas prise aussi facilement. Les paroles de son client l'avait laissé sous le choc et bouche bée un instant, mais dès qu'il eu reprit ses moyens, il lui répondit d'une voix sûre de lui, en bombant légèrement le torse pour paraitre plus impressionnant.

- Je suis désolé monsieur, mais cette néko n'est pas à vendre.

Encore la même phrase qu'il sortait et ressortait chaque fois, ça commençait à devenir lassant de l'entendre se répéter. Et soit dis en passant, il n'avait pas l'aire désolé le moins du monde...

- Si vous voulez me suivre, je vais vous montrer quelques autres de nos nékos, qui eux, son bel et bien achetables.

Kumi se demandait bien quelle allait être la réaction du client. Probablement la même que celle de tout les autres : il acquiserait d‘un faible signe de tête, puis le suivrait dans un rapide tour du magasin. Il se ferait proposer plusieurs nékos, en choisirait une, négocierait son prix, puis partirait bien heureux.

C'était toujours la même routine de toute façon

Invité

Les phrases du propriétaire l'avaient mis hors de ses gongs, il ne supportait pas les gens qui se mettaient à travers son chemin, ceux qui leur répondaient avec un air nonchalant, tout le caractère du propriétaire. Il était en trin de lui refuser la Néko qui se trouvait dans la cage en face de lui, Yoshi allait finir par l'avoir, c'était sure. Comme Yoshi l'avait imaginé, l'homme en face de lui était têtu mais personne ne l’était autant que lui, un beau trait de caractère qu'il tenait de son cher père.

- Elle n'est pas à vendre ? Alors qu'est ce qu'elle fait dans une cage, à la vue des gens ?

Mais le jeune homme ne lâcha pas son col pour autant d'ailleurs il resserra son emprise sur son col et le fixa longuement dans les yeux puis tourna son regard vers la jeune Néko. Elle avait l'air lassé par le propriétaire, cela devait faire un petit moment qu'elle était là, il pouvait comprendre en même temps. Il n'était pas comme les autres clients, il n'allait pas partir juste après quelques mots, ce n’était pas son genre. Le jeune n’avait aucune chance de se laisser faire ou se faire dominer par quelqu’un. Le propriétaire eut une réaction qu’il n’aurait pas du avoir, c’était la goutte en trop, il enleva sa main d'un coup sec, assez violent, c'était le geste en trop. Yoshi eut un léger sourire narquois avant d'assener un coup de poing sur le visage de l'homme qui le fit reculer et le fit tomber par terre. Le futur maitre se dirigea vers le bureau du propriétaire puis prit la clé correspondant à la cage de la jeune Néko.

Il s'avança vers la cage de Kumi puis ouvrit sa cage, le futur maitre dirigea sa main vers la jeune Néko pour la faire sortir de sa cage, même s'il avait un caractère de méchant, il n'en restait pas moins galant.

- Allez, on y va.

Le jeune sortir une petite liasse de billets avant de le jeter sur le corps du propriétaire, il n'allait pas partir sans le payer, il avait quand même sa fierté d'homme. Il tourna sa tête et regarda la réaction des clients et de certains Nékos, ils avaient l’air terrorisés, il s’en fichait, c’était sa façon d’être et d’agir, Yoshi n’allait jamais changer. Il marcha lentement vers la porte de l'animalerie avant de se retourner pour demander à la jeune Néko :

- Tu n'as pas d'affaires ? Tu n'a pas intérêt à t'enfuir sinon je te mettrai une laisse et un collier. On va aller t'acheter des vêtements car t'es bien jolie comme cela mais les Hommes vont te regarder de travers et cela ne me plairai pas.

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Kumi était restée bouche bée tout le long de la scène. Celle ci s'était déroulée d'une manière complètement inattendu, c'était le cas de le dire. Elle s'imaginait déjà les prochains mois qu'elle passerait dans cette cage quand le client répliqua à son propriétaire, toujours sans lâcher le col de sa chemise.

- Elle n'est pas à vendre ? Alors qu'est ce qu'elle fait dans une cage, à la vue des gens ?

Ses mots l'avaient plutôt choquée, pourquoi dont insistait t-il tant pour l'obtenir ? Il y avait d'autres nékos qui auraient très bien pu faire l'affaire à sa place. Pourtant c'était elle qu'il voulait. En voyant ceci, elle pu se confirmer l'hypothèse qu'elle s'était faite à son sujet un peu plus tôt, à savoir qu'il était bel et bien le genre de personnes qui faisaient tout ce qui était en leur pouvoir afin d'avoir se qu'elles désiraient. Le genre de personnes à qui on ne peut rien refuser.

Il continua de fixer son interlocuteur quelque secondes avant de détourner son regard vers le sien. Les yeux de Kumi croisèrent ceux de l'humain l'espace d'un instant avant qu'elle ne les diriges ailleurs, légèrement gênée. Elle ne pu cependant s'empêcher de retourner son attention vers lui lorsqu'il assena un coup de poing violent au propriétaire. Celui ci se retrouva inconscient au sol avant même qu'elle n'eu comprit ce qui était entrain de se passer. Son... "propriétaire", du moins c'est ce qu'elle avait cru comprendre en suivant la tournure des événements tendit la main vers elle d'un geste galant pour la faire sortir de sa cage. Elle n'avait pas osé répliquer, ayant vu le sort qu'il avait accordé à son propriétaire un peu plus tôt.

- Allez, on y va.

Il avait dis cela juste avant de sortir une petite liasse de billets et de la jeter sur le corps inerte du propriétaire.

- Tu n'as pas d'affaires ? Tu n'a pas intérêt à t'enfuir sinon je te mettrai une laisse et un collier. On va aller t'acheter des vêtements car t'es bien jolie comme cela mais les Hommes vont te regarder de travers et cela ne me plairai pas.

Ses paroles l'avait laissée prise au dépourvu, et ce n'est qu'à ce moment que Kumi pris pleinement conscience de la situation...

- Non, attendez... écoutez, mon propriétaire a raison, vous pouvez parfaitement vous trouver une autre néko qui vous conviendra tout autant sinon plus ! Je ne veux pas être acheter ! dit-elle, en s'éloignant légèrement de lui

Invité

La scène s'était déroulé très vite : le propriétaire n'avait pas voulu lui vendre la Néko qu'il désirait alors c'était simple, il avait forcé les choses, Yoshi venait d'obtenir la jeune Kumi par la force. Dans la vie, il n'y avait que deux façons d'avoir les choses soit par les paroles soit par les poings, il n'existait pas d'autres moyens. Le jeune humain en être civilisé avait quand même tenu à payer le propriétaire de l'animalerie, c'était de l'honneur. D'ailleurs, il n’était encore par terre, pas très conscient, il reprenait ses esprits en balbutiant légèrement. Yoshi savait qu'il ne pourrait pas rivaliser contre lui, il ne pouvait pas se relever et venir lui mettre le coup qu'il lui avait donné, pas assez de force et d'esprit pour faire cela.

Le jeune homme s'avança doucement vers la porte tout en posant une simple question à la jeune Néko, il avait sa main sur la porte de l'animalerie lorsqu'il entendu sa phrase. Elle n'était pas en trin de répondre à sa question, elle était en trin de lui dire qu'elle ne voulait pas venir avec lui. Yoshi avait pourtant pensé qu'elle n'était pas de ce genre : du genre à répondre mais plutôt calme, sans répondant mais non fallait qu'elle en ait. Décidemment toute les femmes étaient pareilles, elles ne savent jamais ce qu'elles veulent réellement : un moment, elle voulait partir de cette cage et là maintenant elle ne voulait plus. Il réfléchit quelques secondes, ah … Elle avait surement peur de lui, c’était vrai qu’il ne semblait pas gentil et il ne l’était pas, il venait de taper le propriétaire devant lui, c’était surement pour cela qu’elle ne voulait pas venir. Mais c'était trop tard, elle était à lui.

- Je ne t'ai pas demandé si tu avais envie de venir ou pas. Tu n'a pas le choix, tu viens.

Le jeune humain retourna sur ses pas et s'approcha de la Néko avant de la fixer longuement dans les yeux, il attrapa sans geste brusque son visage avec sa main puis vint lui dire :

- Et tu ne parles pas sur ce ton, je suis ton propriétaire. Rappelles toi de cela. On y va ! Ne me force pas à être méchant avec toi !

Elle ne devait surement pas savoir que les Nékos étaient censés être soumis à eux, les humains. Il lâcha son visage avant de s’avancer vers le coin où il y avait les laisses et les colliers, il en prit une paire puis vint mettre le collier au bras de la jeune Néko au lieu de son cou puis attacha la laisse avant de s’avancer avec elle vers la porte. Alors qu’il sortait avec Kumi, il vit à travers la vitrine, le propriétaire se lever avec l’aide de quelques clients, se tenant la tête entre les mains, Yoshi sourit malicieusement, il allait surement avoir un énorme mal de tête avec le coup qu’il lui avait mit.

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Elle aurait du se méfier... elle avait encore réussi à se mettre dans ce genre de mauvaise situation. Kumi s'était pourtant promis de ne plus jamais retomber entre les mains d'un homme, et voilà le résultat !

Elle n'avait pas répondu à la question que l'humain lui avait posé, elle lui avait plutôt dis que son propriétaire avait raison, qu'il pourrait parfaitement se trouver une autre néko qui lui conviendrait tout autant sinon plus et qu'elle ne voulait pas être acheter. Mais ses mots n'eu pas l'air d'avoir le moindre effet sur son interlocuteur, étant donné ce qu'il lui dit par la suite...

- Je ne t'ai pas demandé si tu avais envie de venir ou pas. Tu n'a pas le choix, tu viens. il marqua une pause, s'avança vers elle puis prit son visage entre ses mains tout en la fixant. Et tu ne parles pas sur ce ton, je suis ton propriétaire. Rappelles toi de cela. On y va ! Ne me force pas à être méchant avec toi !

Il la lâcha puis s'éloigna dans un coin l'espace d'un instant, lui accordant un peu de "liberté" avant de la lui retirer aussi rapidement qu'il lui avait donner, en attachant un collier à son poignet et en la mettant en laisse. Le collier n'était pas serrer au point de lui faire mal, mais suffisamment pour l'empêcher de s'échapper.

Kumi suivit les pas de son nouveau maître et ceux ci la menèrent hors de l'animalerie. Ça faisait si longtemps qu'elle n'était pas sortit dehors ! À travers la vitrine, le ciel lui avait parut bien moins bleu, et le soleil, bien moins éclatant. Elle restant là un moment, ses yeux grand ouverts, émerveillée par le spectacle qui s'offrait à elle, si bien qu'elle en oublia un instant la présence de son maître à ses côtés.

Quand elle revint à elle, elle hésita un moment avant de lui posé la question qui la travaillait depuis tout à l'heure, puis fini par se lancer d'une voix timide :

- Comment vous appelez vous ?

Elle attendit le temps d'obtenir une réponse, puis continua sur sa lancer, poursuivant son petit interrogatoire :

- Ou allons nous ? ... puis soudain, se souvenant ce qu'il avait dis plus tôt, elle demanda : Dans une boutique ? M'acheter des vêtements ?

Invité

Le jeune homme était satisfait de son achat, il venait de s'acheter l'une de plus belles Nékos du magasin, il aurait aimé qu'elle est moins de répondant mais on ne pouvait pas tout avoir à la fois : c'était soit l'un soit l'autre. Yoshi et Kumi s'avançaient petit à petit dans les rues de la ville, du centre ville pour être précis, il pouvait voir comme lui, d'autres humains avec leurs Nékos. Certains leur laissaient leur liberté, d'autres leur avaient mis un collier au cou, ou encore d'autre vivait leur amour avec eux ... Ils y avaient surement des centaines de façons de se conduire avec ses Nékos, lui était un intermédiaire entre le méchant propriétaire qui tenait fermement sa Néko en laisse et celui qui laissait quand meme sa liberté d'expression.

Tout doucement, ils s'approchaient du centre commercial où ils y avaient presque tous les magasins de vêtements de la ville, surtout celle qui était à la mode, ou pour tous les gouts. Yoshi ne voulait pas continuer à marcher dans les rues ou à vivre avec une Néko habillé en maid ou autre vêtement folklore, cela lui allait bien et la mettait en avantage, l'humain l'admettait. Mais c'était embarrassant de voir tous les hommes se tournaient sur le chemin pour voir sa chose.

La question de Kumi était admissible, elle n'allait quand même pas rester presque toute sa vie avec un homme dont elle ne connaissait pas le nom. Yoshi ressentaient bien que dans sa voix, il y avait de la timidité mais aussi de la peur, il avait su installer dès le début, les limites de leurs relations. Il se retourna pour la voir en face et lui répondre :

- Yoshi Masamoto.

Mais malheureusement, elle ne s'arrêta pas à cette question et lui en posa encore. Ce n’était pas possible, qu'est ce qu'elles pouvaient être pipelettes, les femmes. Kumi arrivait à lui poser trois questions en une fraction de seconde. Il se rapprocha un peu plus d'elle avant de lui demander :

- Tu a mal compris ce que je t'ai tout à l'heure ? Oui, on va t'acheter des vêtements.

La porte du centre commercial s’ouvrit automatiquement, les laissant entrer, l’humain se rapprocha de nouveau de sa Néko avant de lui enlever la laisse et son collier, elle avait surement compris, elle n’en avait plus besoin. Et en plus, il ne pouvait pas continuer à lui faire porter alors qu’ils allaient acheter des vêtements, il n’allait quand même pas rentrer avec elle dans la cabine d’essayage. YOshi regarda un peu autour lui, fit un repérage des magasins et rentra dans le premier qui était sur son chemin. Il pointa le rayon des femmes et dit à sa Néko.
- Va choisir ce qui te plait. Juste pas de chose vulgaire et prends tous ce qu’il te faut.

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Après lui avoir dit qu'il s'appelait Yoshi Masamoto, son nouveau maître sembla décourager par les tonnes de questions qui suivirent , mais lui répondit tout de même :

- Tu a mal compris ce que je t'ai tout à l'heure ? Oui, on va t'acheter des vêtements.

Puis, quelques secondes plus tard, comme pour confirmer ses dires, Yoshi la fit entrer dans le centre commercial. Les grandes portes s'étaient ouvert sur eux, puis refermer à leur suite. Kumi fit deux ou trois pas avant que son maître se s'arrête afin de lui retirer sa laisse et son collier, lui redonnant un peu de liberté. C'est vrai qu'il n'était tout de même pas pour rentrer avec elle dans les cabines d'essayage... Manifestement il lui faisait confiance. Et Kumi n'osait d’ailleurs pas se rebeller pour l'instant, il lui avait déjà montrer de quoi il était capable, et elle ne voulait pas se retrouver à la place du propriétaire...

La boutique dans laquelle ils s'étaient retrouvée semblait avoir de très beau vêtement. Quand il lui dit de choisir ce qui lui plaisait et de prendre tout ce qui lui fallait, elle n'en revint pas : on ne lui avait jamais acheter quoi que se soit auparavant, et ses précédant vêtement était toujours décidés par son ancien maître... Le seul critère que lui avait imposé Yoshi est qu'il ne fallait pas que cela soit vulgaire, ce qui l'arrangeait plutôt bien elle aussi. Kumi murmura un faible « merci » avant de se diriger vers le rayon des femmes qu'elle lui avait indiquer. Il y avait tellement de beau vêtement qu'elle avait de la difficulté à choisir ce qu'elle voulait. Elle était assez mal à l'aise à l'idée de dépenser l'argent de son maître, n'étant pas habituer à ce qu'on s'occupe d'elle de cette manière.

Elle continuait de longer le rayon quand, trop concentrée par cette tonne de tissu, elle fonça dans un dame. À voir l'uniforme du magasin qu'elle portait, elle en conclu qu'elle devait travailler ici. Celle ci s'inclina légèrement devant Kumi ( qui fut presque une crise cardiaque en voyant un tel geste de la part d'un humain ) puis demanda :

- Est-ce que je peux vous aider ?

- Je...

- Vous cherchez quelque chose en particulier ?

- Je...

Kumi chercha son mettre du regard, puis, une fois l'ayant trouver, le pointa tout en répondant à la vendeuse :

- Mon maître veux que je m'achète des vêtements.

Son interlocutrice sembla réfléchir un instant, et par la suite elle parcouru le rayon, prenant diverses morceaux de linges au passage, puis les lui donna en revenant

- Si cela vous plait, vous pouvez allez les essayer dans la cabine d'essayage.

Kumi observa le petit tat de vêtement qu'elle lui avait apporter, puis hocha la tête en souriant, ravie de se qu'elle avait choisi.

- Suivez moi.

À ses ordres, Kumi suivi la vendeuse jusqu'aux cabines d'essayage. Celle ci installa la neko dans l'unes d'entres elles, puis lui dit de l'appeler si elle avait besoin d'elle. Elle essaya plusieurs morceau, puis finalement, ressortie de la cabine avec avec : deux robes, quatre jupes, une paire de jeans, quatre haut, un pyjamas et des sous-vêtements. Par la suite, toute heureuse, elle se dirigea vers son maître, ce n'est que la qu'elle se rendit compte de tout ce qu'elle avait choisi, sûrement serait t-il très contrarier... Elle prit également conscience d'une autre chose... les sous-vêtement qu'avait choisi la vendeuse était assez... disons... et elle avait peur de la réaction de Yoshi face à ceux ci. Il avait bien souligner qu'il ne voulait rien de vulgaire. Elle pris alors l'un de ses soutiens gorges et l'agita devant son maître de façon tout à fait naïve

- Est-ce que c'est vulgaire ?

Invité

Cela faisait un petit bout de temps qu'ils étaient sortis de l'animalerie, ils s’étaient dirigés ensuite vers les magasins afin de pouvoir trouver des vêtements pour la jeune Néko, elle n'en avait pas d'autre et Yoshi trouvait que l'idée de la laisser avec le même vêtement, n'était pas la correcte décision. De plus, ce n’était pas éthique de laisser un Néko comme cela même si ce n'était pas humain mais si jamais elle se rebellait ou quoi que cela soit, il saurait lui donner les punitions qui vont avec les actes.

Yoshi avait montré à Kumi, le rayon des femmes, il alla faire un petit tour du cote de ses hommes, faisant confiance à la Néko. Elle n'allait surement pas faire de geste absurde ou se rebeller alors qu'elle l'avait vu taper le propriétaire et elle devait surement s'en douter qu'il en était capable d'en faire de même avec elle. Le jeune humain regarda dans les rayons, des vêtements qui pouvaient lui plaire, il ne trouva qu'une chemise blanche à son gout. Enfin il devait en avoir des dizaines, voir des vingtaines de chemises blanches à la maison puis un de plus ne faisait pas mal.

Avec son article en main, il se dirigea vers les cabines d'essayes où la jeune Néko était en trin de choisir les vêtements qu'elle avait choisie avec l'aide d'une vendeuse, ou qu'enfin une vendeuse lui avait choisie. Elle sortit quelques instants plu tard avec une pile de vêtements dans les bras : jupes, jeans, t-shirt, pyjamas, tout le nécessaire dont elle en avait besoin. Elle vint ensuite vers lui puis agita un soutien gorge en dessous de son nez, il la regarda un peu surpris et se tapa avec la main le front avec un soupir. Le jeune tira ensuite doucement l'oreille gauche de Kumi, en venant dire :

- Quand je disais vulgaire c'était des vêtements trop osés et non pas un soutien gorge volant. Ce sont des sous vêtements. Qui viendraient les voir de tout façon ? Tu a besoin d'autres choses ? Prends toutes les choses dont tu a besoin, je n’ai pas envie de faire des allers retours pour toi.

Il commença à s'avancer vers les caisses en attendant une réponse de la part de la jeune Néko.

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Quelque peu inquiète, Kumi avait pris l'un de ses soutiens-gorges puis l'avait agité juste sous le nez de son maître, tout en demandant d'une voix naïve à celui ci si cela était vulgaire. Son maître avait alors soupirer tout en se tapant le front de sa main, puis avait doucement tiré sur l'oreille de la neko en lui disant :

- Quand je disais vulgaire c'était des vêtements trop osés et non pas un soutien gorge volant. Ce sont des sous vêtements. Qui viendraient les voir de tout façon ? Tu a besoin d'autres choses ? Prends toutes les choses dont tu a besoin, je n’ai pas envie de faire des allers retours pour toi.

Il commença alors à marcher vers les caisses en attendant sa réponse. Kumi le rattrapa rapidement pour lui répondre.

- Non merci, je n'ai besoin de rien d'autre, j'ai déjà pris tout le nécessaire. Elle marqua une pause avant de continuer sur un ton timide et hésitant. Et euh... Kumi réfléchit un moment pour bien choisir ses mots, elle ne savait pas trop comment lui dire cela, ce n'était pourtant pas très difficile. Merci... de m'acheter tout ça.

Bien sûr, elle doutait qu'il soit le meilleur des maître. Mais il prenait quand même bien soin d'elle, elle devait au moins lui accorder cela. Elle attendit quelques secondes, légèrement nerveuse à savoir quelle serait sa réponse.

La caissière était la même vendeuse qui l'avait aidé un peu plus tôt, Kumi lui fit un petit sourire lorsqu'elle croisa son regard, elle n'était pas habituée à ce que quelqu'un soit aussi gentil avec elle qu'elle l'avait été. La néko observa ce qui se passait autour d'elle pendant que son maître payait, elle avait été si longtemps dans sa cage que maintenant qu'elle en était sortie, tout lui semblait intéressant.

Invité

Le jeune homme prit les vêtements qu'avaient Kumi dans les bras puis les posa à la caisse avec sa propre chemise qu'il venait de prendre. Il avait entendu les phrases de la jeune Néko mais n'avait pas répondu, qu'est ce que Yoshi devait répondre à des remerciements ? Il n'en savait pas grand chose, il acquit juste de sa tête, c'était lui où il l'avait l'impression d'être un peu plus gentil que d'habitude. C'était surement à cause de cette belle caissière qu'il avait devant les yeux, il la détailla, suivit tout doucement la ligne de ses courbes, elle était belle mais entrer dans la catégorie de la normalité.

Il paya les vêtements avant de tendre les deux sacs vers la jeune Néko puis s'avança vers l'extérieur, qu'est ce qu'ils allaient faire maintenant ? Le jeune n'avait pas d'autres courses à faire malgré le faite qu'il venait juste d'emménager. D'ailleurs, Yoshi se rappelait le premier jour il avait emménagé, il n'avait pas un lit où dormir et avait du dormir à l'hôtel. Il ne réfléchissait pas avant de faire quelque chose, il n'aimait pas se prendre la tête. Heureusement, il avait un majordome, l'ancien majordome qui s'était occupé de lui étant occupé de lui étant petit et qui le faisait toujours d'ailleurs, c'était lui qui s'était occupé du décor et des chambres, comme celle de Kumi. Il avait décidé de lui donner une petite chambre, qui était avant une penderie, le majordome l'avait aménagé. Le jeune maitre ne voulait pas l'obliger à dormir avec lui ou quoi que cela soit d'autre sinon il aurait perdu la liberté qu'il avait avec d'autres femmes.

Tout en sortant du centre commercial, il tendit la main pour prendre un taxi, il monta ensuite dedans avant de garder la porte ouverte pour que Kumi puisse entrer. La porte se ferma après son entrée, il donna l'adresse de sa maison au chauffeur mais se tourna avant vers la jeune Néko avant de lui demander :

- Tu a faim ? Parce arrivé à la maison il sera trop tard, à part si tu sais cuisiner ?

» La mort attend son heure j'attend la mienne [pv une maitresse !]
» attend un maitre (PV)