Attendant celle qui le libérera (PV Irina Makishiro)

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Onwa somnolait dans sa cage, ouvrant parfois les yeux pour regarder le monde extérieur. Pour lui "dehors" ne se limitait qu'un d'autres cages, d'autres Nékos, un comptoir, des vendeurs et un petit bout de rue qu'il pouvait voir à travers la vitrine de l'animalerie. Il faut dire que le néko n'aimait pas beaucoup regarder le monde à travers les barreaux de sa cage, les épaisses et froides barres de métal lui faisaient trop mal au coeur où que se pose son regard.

Il ne faisait donc qu'attendre en espérant, et en dormant à moitié, allongé sagement, roulé en boule dans sa petite prison personnelle, chacun la sienne, à attendre qu'un humain ne passe devant lui ou qu'une humaine ne s'arrête pour le regarder. Il espérait tant un jour réussir à trouver une personne envers qui il pourrait offrir sa servitude et qui l'apprécierait, et même lui ferait peut-être les câlins doux et tendres dont il rêvait tant.

Justement le carillon au-dessus de la porte du magasin venait de sonner et Onwa rouvrait les yeux pour sortir de sa rêverie et regarder qui pouvait bien être rentré. Un des employés revenant d'une pause ? Un client ? Un livreur ?
Ses grands yeux dorés et curieux cherchèrent donc à savoir ce dont il s'agissait alors qu'il se redressait légèrement pour se mettre à genoux dans sa cage, s'appuyant sur les barreaux comme pour essayer de passer au travers et enfin rejoindre le monde plus libre dont il était privé.

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'..yasashii mana sa shiino
anata ni...
ai tai..'

Une voix douce et mélodieuse s'élevait d'une salle de bain d'une maison se trouvant dans la ville de Neko-city. Cette voix n'appartenait à nulle autre personne qu'Irina Makishiro, une jeune fille de dix neufs ans qui avait percé dans la carrière de l'art et du cinéma depuis quelques années. Malgré son jeune âge et son passé modeste, elle était appréciée aussi bien pour ses excellentes prestations que pour son caractère tendre et pacifique.

Après quelques minutes, Irina sortit de la douche. Laissez moi décrire durant un instant la beauté de son corps et de ses traits. Son visage est très doux, fin aussi, exprimant le calme et la sérénité. Sa peau est très pâle et aussi douce qu'une peau de bébé, ou presque. De longs cheveux noirs et soyeux, descendant au milieu de son dos, encadrent son visage de geisha, rôle qu'elle à déjà joué dans un ou deux films d'ailleurs. Ses yeux étaient d'une profonde couleur et ne dévoilaient aucune animosité. L'humaine sécha son corps puis décida de ses habits: elle prit finalement un corset noir où elle mit par dessus un fin cache coeur rouge sang, et comme bas, elle prit un pantalon de cuir. Elle brossa par la suite ses cheveux, après les avoir séché.

Finalement, se sortant d'humeur à sortir, elle prit sa jackette noire, ses bottes, son sac et sortit dans la ville, voulant découvrir un peu plus l'endroit où elle habiterait désormais. Après quelques minutes de marche, la demoiselle se trouva devant une animalerie pour nekos. Etant contre l'esclavage, elle espérait pouvoir au moins une fois accueillir un neko chez elle pour qu'il ou elle connaisse autre chose que la soumission. Curieuse, elle entra dans la boutique. Un vendeur voulut l'aider, mais elle lui fit comprendre qu'elle n'avait besoin que d'elle-même, tout en restant polie.

Elle vit alors un jeune neko, collé aux barreaux de sa cage comme s'il voulait en sortir. Pas étonnant, après tout, qui aimerait ne serait ce vivre dans cette prison de métal rien qu'une journée!? Irina s'approcha alors de la cage de l'hybride qui avait attiré son attention. Elle se demanda si la personne se trouvant devant elle était un neko garçon ou femelle. Elle pensait que c'était un garçon, mais il avait des traits très féminins, on pouvait donc se poser des questions. Avec un sourire doux et sympathique, l'humaine dit au neko:

'Bonjour petit neko. Comment te nommes tu?'

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Onwa vit la personne venant d’entrer dans la boutique arriver vers lui, et enfin il pouvait voir de qui il s’agissait. Une humaine se présenta devant lui, une jeune femme magnifique pour ce que pouvait en dire le Néko… elle avait un visage aux traits fins et qui ne semblait ne jamais avoir été déformé par la colère… une beauté sereine et calme, douce comme une caresse faite avec une plume.
Et puis elle était habillée avec goût et de façon assez élégante, son pantalon de cuir mettait en valeur ses longues jambes et son haut soulignait sa taille fine. Une vraie beauté digne de faire du cinéma, bien qu’Onwa n’y soit jamais allé ni n’ai jamais vus de films.
Puis l’humaine s’approcha de sa cage, et s’adressa à lui directement à la grande surprise du Néko. Elle avait refusé de parler avec le vendeur pour directement s’intéresser à lui… peut-être allait-il avoir une chance de trouver enfin une personne qui l’achèterait ?

-Je m’appelle Onwa mademoiselle.

Il s’était un peu reculé de contre les barreaux de sa cage maintenant qu’il pouvait la voir sans devoir se mettre dans une position inconfortable dans sa cage.
Puis, timidement il osa lui poser à son tour une question bien qu’il ait appris que normalement il ne devait pas s’adresser à une maîtresse potentielle sans sa permission.

-Heu… je… J’aimerais savoir… comment vous-vous appelez mademoiselle ?

Il baissa les yeux, espérant qu’elle lui répondrait sans lui en vouloir de s’être montré impolis. Car il sentait quelque chose en elle, comme une possibilité de créer un lien entre eux… bien sur il pensait se tromper sans doutes peu mais le sentiment était là, et il ne voulait pas laisser échapper une chance pareille.

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Lorsque la demoiselle de race humaine s'approcha de la cage d'un neko en particulier, ce dernier recula alors, ne se collant plus aux barreaux de la cage, la jeune fille étant désormais assez près de lui pour qu'il la voie sans mal. En s'approchant, Irina que le neko était assez petit, ou la neko. Mais elle pensait que c'était un garçon, malgré ses traits féminins. Et sans qu'elle ne le sache, elle avait totalement raison. Une chose était vraiment captivante chez le neko: ses grands yeux dorés. L'hybride répondit à la demoiselle qu'il s'appelait Onwa... C'était plutôt kawaï. Après un court instant de silence, la petite voix timide du prénommé 'Onwa' s'éleva, demandant à la juste adulte comment elle s'appelait. Celle ci répondit avec un sourire:

'Irina, Irina Makishiro.'

La jeune femme vit qu'il avait baissé ses beaux yeux en posant la question. Elle eut un sourire. Elle ne connaissait ni le comportement des nekos ni comment ils étaient éduqués en général, mais elle voyait bien qu'Onwa, en plus de sa timidité, avait été éduqué de sorte à être tout gentil et poli. Elle s'approcha un peu plus de la prison de fer. Elle passa lentement sa fine et blanche main entre les barreaux, sans mouvements brusques pour ne pas faire peur à l'hybride. De deux de ses doigts, elle releva doucement le menton du neko, le faisant la regarder dans les yeux. Une fois que ce fut fait, dans un geste simple mais d'une douceur et d'une grâce incomparable, Irina retira ses doigts de sous le menton du neko. Elle sortit sa main pâle de la cage et la remit le long de son corps. Se redressant un peu, elle demanda:

'Voudrais tu venir avec moi, Onwa?'

La décision de la jeune humaine était prise. Si aujourd'hui, elle devait prendre un neko dans cette animalerie pour lui faire connaître ne serait ce qu'un peu de joie et de bonheur, le neko qu'elle choisirait serait celui à qui elle parlait à ce moment même. Pourquoi? Parce qu'elle le trouvait très mignon et gentil. Trop gentil pour terminer dans les mains d'un humain, homme ou femme, qui aurait de mauvaises intentions. Maintenant, la décision de sortir de cette prison de fer et de la suivre en dehors des murs de l'animalerie ou non ne dépendait que de la volonté, du choix d'Onwa.

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Il s'était attendu à se faire réprimander par la jeune femme ou même à ne plus entendre sa douce voix car rien ne l'obligeait à répondre aux questions d'un néko mais Irina ne semblait pas faire partie des humains reprochant aux hybride ce genre de comportement.
Les oreilles d'Onwa bougèrent un peu sur sa tête alors qu'il regardait toujours ses genoux... la voix de la jeune femme et son nom, tout en elle plaisait à Onwa... elle semblait douce comme... une mère qu'il n'avait jamais eue et dont le seul souvenir ressemblait à une image floue alors qu'il n'était encore qu'un chaton.

Quant la gracieuse demoiselle passa sa fine main à la peau pâle à travers les barreaux de se prison Onwa ne bougea pas, devinant que le geste ne serait jamais violent de la part de l'humaine. Tendant même un peu son visage vers les doigts qui lui caressèrent le menton il redressa son regard vers elle comme elle l'avait voulu avant d'être prit d'un petit frisson quant Irina cessa le contact.
Le regard du Néko s'écarquilla soudainement quant elle lui demanda s'il désirait venir avec elle. Le pauvre ne savait pas quoi faire... normalement un néko n'avait pas à donner son avis et se pliait seulement au choix de l'humain voulant l'acheter. D'un autre coté Irina semblait ne pas vouloir suivre cette façon de faire, et puis elle lui avait demandé son avis à lui et il devait y répondre... aussi surprenant pour lui que soit la question.

-Heu... je... Je devrais pas avoir à vous donner mon avis Mademoiselle Makishiro... mais puisque vous me le demandez je vous avouerais que j'aimerais beaucoup aller avec une personne ayant l'air aussi gentille et belle que vous.

Couchant ses oreilles contre sa tête, Onwa baissa le visage sans quitter l'humaine des yeux, guettant sa réaction... il avait si peur d'être déçu et qu'elle refuse au final de la faire sortir de cette cage... anxieux, sa queue balayait le sol de sa cage derrière lui alors qu'il attendait de savoir quel serait son sort, qui dépendait désormais d'Irina.

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Irina vit les beaux yeux dorés du neko s'écarquiller d'un coup lorsqu'elle lui demanda si il voulait bien la suivre hors de cette prison qu'était la fourrière de Neko-city. Ne connaissant pas vraiment les nekos, la demoiselle ne se doutait pas qu'en général, ces hybrides se pliaient aux exigences de leur maître et point. Enfin, elle savait bien qu'ils étaient en situation d'esclavage, mais c'était impossible à imaginer pour elle qu'on ne demandait pas leurs avis à ces êtres, qui à ses yeux, étaient simplement des humains mais avec des attributs de félins en plus! Après un instant, et d'une voix hésitante, Onwa dit à l'actrice qu'il n'était pas sensé donner son avis, mais que si elle le lui demandait, il aimerait beaucoup la suivre. Les compliments qu'ils lui donna fit apparaître deux roseurs sur les joues de la jeune fille. Elle l'avait entendu l'appeler 'mademoiselle Makishiro'. Elle préférerait qu'il l'apelle par son prénom mais bon, ils verraient ça plus tard. Elle dit finalement, voyant que le neko avait de nouveau baissé la tête:

'Relève la tête, Onwa. Je ne vais pas te gronder, ne t'en fais pas. Excuse moi si tu ne trouves mon attitude pas comme celle des autres, c'est juste qu'il y a deux semaines encore, je ne connaissais pas l'existence des nekos ^_^.'

La jeune humaine fit un signe à l'hybride pour lui faire comprendre qu'elle revenait. Se retournant, elle chercha un quelconque vendeur des yeux. Elle en vit un, un peu plus loin, occupé à conseiller un autre humain. L'actrice se dirigea vers lui et attendit patiemment qu'il aie terminé sa conversation avec son congénère, puis finalement, l'animalier la vit. Aussitôt; devinant qui elle était, il lui accorda un sourire commercial, pensant qu'avec un peu de chance, il pourrait lui soutirer plus d'argent que prévu. Irina, habituée à ce genre de comportement, décida de faire attention. D'une voix mielleuse, le vendeur prit alors la parole:

'Bienvenue dans notre modeste animalerie mademoiselle Makishiro. Que désirez-vous?

-J'aimerais prendre avec moi le neko qui porte le nom d'Onwa.

-Très bon choix mademoiselle, il est très gentil et vous comblera...

-Je vous serais bien obligée si vous ne me donniez pas votre point de vue.

-Oh.. Bien.. Si vous voulez bien me suivre..'

L'homme avait apparemment compris qu'Irina ne voulait pas qu'on insinue des choses sur elle, qu'auraient fait d'autres humains. Le vendeur essaya, comme prévu, d'augmenter le prix mais l'actrice ne se laissa pas faire. Certes, elle était douce et gentille, mais il ne fallait pas lui marcher sur les pieds. Finalement, après avoir donné l'argent à l'animalier, avoir lu et signé quelques paperasses, la demoiselle pu enfin se diriger vers la cage de 'son' nouveau neko. Le vendeur ouvrit la cage et s'en alla ailleurs, sans plus se soucier de la mondalité et d'Onwa. Irina laissait une marge d'environ un-deux mètres entre elle et la cage, pour que l'hybride puisse sortir sans mal. Avec un sourire, elle dit:

'Tu peux sortir ^_^.'

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Onwa releva bien la tête vers Irina quant elle lui parla mais autant pour lui obéir que par réelle surprise. Il ne se doutait pas que l’on puisse ne pas connaître sa race, pour Onwa les maîtres humains les avaient toujours dominés et il pensait normal que tous aient des nékos et les connaissent.
Puis il fut encore plus surpris de la voir s’en aller après lui avait fait comprendre qu’elle allait revenir. Le cœur du jeune néko se mit à s’accélérer… peut-être qu’enfin il allait pouvoir sortir ?!? Un grand espoir se mit à gonfler le cœur d’Onwa… sa queue semblait fouetter les barreaux de sa cage derrière lui tant il était joyeux… enfin il allait trouver un humain à servir, et peut-être me^me qu’il serait récompensé en travaillant assez dur !

Les fines oreilles d’Onwa entendirent la discutions, et comprirent qu’Irina l’avait réellement acheté. Quant le vendeur vint lui ouvrir sa cage il ne tenait déjà plus en place, tournant dans sa prison comme un fauve impatient de sortir.

Le vendeur partit, c’est avec un immense sourire qu’Onwa se précipita dehors avant de brusquement s’arrêter. Il n’allait tout de même pas sauter dans les bras de sa nouvelle maîtresse ?!? Ce n’était vraiment pas bien élevé et puis il n’était pas certain qu’Irina apprécie.

-Merci beaucoup Mademoiselle Makishiro ! Dit-il en s’inclinant devant elle tout sourire et sa queue bougeant dans tout les sens. Je peux faire quelque chose pour vous maintenant ?

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La jeune fille laissa patiemment le neko sortir de sa cage. Onwa ne se fit pas attendre, apparemment très heureux de pouvoir sortir de sa prison de fer. Après tout, qui ne le serait pas dites moi? Une fois sortit, l'hybride sembla hésiter sur quelque chose. Finalement, il s'inclina devant l'actrice, et se redressant, il la ré-appela 'mademoiselle makishiro'. Celle ci eut un sourire, ce petit bout de félin était vraiment mignon et poli! Elle sembla réfléchir un instant puis répondit avec un sourire:

'Hmm.. Tu vas pouvoir faire quelque chose en effet!'

Gentiment, sans brusquer le neko, Irina prit la main de l'hybride et l'amena vers le second comptoir de l'animalerie. Une vendeuse, à l'air bien plus sympathique et moins superficiel que le premier animalier, semblait attendre d'éventuels clients. Ce guichet n'était pas fait pour la vente de nekos, mais plus pour tout ce qui était colliers, chose que les nekos étaient obligés de porter en ville quand ils avaient un maître. Sauf s'ils voulaient être considérés en temps que nekos rebelles bien sûr, et donc capturés pour être emmenés à l'animalerie. Il y avait aussi des laisses, mais ce n'était pas obligatoire, et Irina n'avait pas l'intention d'en prendre. Il y avait des vêtements, mais bien trop vulguaires ou provoquants au goût de l'actrice. Elle irait chercher des vêtements à Onwa avec ce dernier plus tard. Elle fit signe à l'hybride de regarder les colliers. Il y en avait de toutes sortes: des colorés, multicolores, vifs, clairs, noirs, avec des pointes, ou avec des rubans, plus ou moins extravageants. Elle dit alors:

'Je suis obligée de t'acheter un collier, la loi est ainsi. Choisis celui que tu veux porter, je préfère que tu en choisisses un toi même pour être plus à l'aise.'

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Onwa se laissa prendre la main, y trouvant même un contact agréable. entre ceux du Néko les doigts d'Irina semblaient plus long et fins qu'il ne l'était réellement et cela amuse l'hybride qui se fit guider par sa nouvelle maîtresse vers un comptoir où attendait une employée de la boutique.
Tout fier d'être enfin sortis de sa cage, Onwa ne se priva pas de sourire à l'inconnue en prenant bien soin de ne pas lâcher cette main qu'Irina lui avait donné.

Et l'humaine lui expliqua qu'il allait devoir se choisir un collier pour ne pas avoir d'ennuis avec la justice. Ces mots ne choquèrent pas un seconde la Néko qui trouvait même flatteur de porter un collier le proclamant le propriété de l'actrice, il était très heureux d'avoir une personne aussi sensible qu'elle comme maîtresse.

-Je peux avoir celui-là alors Mademoiselle Makishiro ? *demanda t-il en montrant un des modèles

Le collier était en cuir rouge sombre décorés de motifs noirs dessinant des végétaux s'enroulant les uns autour des autres comme des vignes, et l'intérieur du cuir était doublé d'un velours noir afin de ne pas trop blesser la peau fragile de la gorge même si Onwa se mettait à gesticuler en tirant dessus... pas qu'il pense le faire un jour mais il était encore jeune et avait parfois des envies de jeux turbulent à courir partout.

-Je pourrais avoir une plaque avec votre nom aussi ? ...s'il vous plait ?

Ravis de devoir porter ce collier, Onwa se demandait si Irina accepterait de le personnaliser pour bien indiquer à qui Onwa appartenait maintenant. Elle semblait un peu hésitante à le considérer comme une de ses possessions, comme elle l'avait dit elle n'était pas habituée au fait de côtoyer des Nékos alors en acheter un, elle devait vraiment être en pleine découverte.
De son coté Onwa était bien décidé à affirmer son appartenant exclusive à Irina de toutes façons.

-Vous ne prenez pas de laisse Maîtresse Makishiro ?

Ca par contre... il le lui avait demandé par réelle curiosité et pas parce qu'il en avait envie. Onwa préférait éviter d'être mis au bout d'une lanière et de toutes façons ne s'éloignait jamais bien loin des Humains qui s'occupaient de lui ayant été dressé pour leur obéir et rester à leur écoute.
Et petit bonus, il avait remplacé le "Mademoiselle" par "Maîtresse" car maintenant qu'elle allait lui faire porter un collier elle n'était plus une humaine parmi les autres mais sa maîtresse à lui, et afin de rester correct il se devait de s'adresser à elle en utilisant le bon titre avant son nom.